80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Montréal, 1938. Quinze jeunes scouts montréalais choisissent de vivre l´expérience de la « Route ». En vrais scouts, ils s´adonnent à des activités de plein air, ils dorment sur la dure, parcourent le monde, font du théâtre et beaucoup de bénévolat dans leur communauté. Mais, comme ils ont choisi d´être routiers, ils partent régulièrement, godillots aux pieds, et ils marchent de longues heures, dans le but de s´entraîner à la vie rude, frugale et simple, de devenir... présentables dans un salon et indispensables dans un naufrage. Après tout, on est sur la route que pour marcher en avant !C´est la vie rude certes, mais c´est aussi une vie agréable faite de camaraderie, d´entraide, d´exploits musclés, une vie où, sans drogue et sans violence, on peut imaginer une discipline très efficace pour affronter l´avenir. Le clan Saint-Jacques attirera d´ailleurs près d´un millier de garçons pendant un quart de siècle. S´y joindront des personnalités, tels le père Ambroise, Gaston Miron, Jean-Paul Riopelle, Jacques Parizeau, mais aussi des jeunes de tous les milieux, sans discrimination, sauf celle de se distinguer des « mous ».
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