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Le roman qui a inspiré la série de Disney +.« La vraie bonne surprise de cette saison littéraire. » La Stampa« Je l'ai dévoré ! » Gérard Collard, Le Magazine de la santé1799. Paolo et Ignazio Florio quittent leur Calabre natale pour s'installer à Palerme. Passionnés, ambitieux mais pauvres et de modeste origine, les deux frères et leur famille n'aspirent qu'à une chose : se hisser parmi les puissants de la ville. C'est sans compter le mépris des palermitains qui voient d'un mauvais oeil ces étrangers dont « le sang pue la sueur ». À force d'obstination et de volonté, les Florio, en se lançant dans le commerce d'épices, se frayent un chemin qui, un jour peut-être, leur donnera un empire. Mais leur réussite ne les protège pas de drames plus intimes, car Paolo et Ignazio, pourtant unis comme les cinq doigts de la main, aiment la même femme...Succès phénoménal en Italie, bientôt adapté à l'écran par les producteurs de L'Amie prodigieuse, Les Lions de Sicile ouvre une fresque passionnée et tourmentée, à l'image de cette Italie du Sud qui en constitue le décor.
« Une famille légendaire... Une passionnante mosaïque d'histoires publique, privée et d'époque. » Vanity Fair« Un des [romans] incontournables de l'été. » Page des libraires
Un tremblement de terre la nuit à Bagnara en Calabre. La peur au ventre. Les dégâts humains et matériels qu'on guette au petit jour en se demandant si cette fois-ci. Et ce déclic dans la tête de Paulo: il faut partir. Direction Palerme avec dans ses bagages sa femme Giuseppina, son fils Vincenzo, sa nièce et son frère Ignazio.
L'arrivée est dure: le comptoir d'épices qu'il pensait développer se révèle délabré, ils sont en butte aux préjugés et au mépris. Mais voilà, à force d'ingéniosité et de dur labeur, leur entreprise va devenir florissante.
Paulo, Ignazio, Vincenzo: trois piliers de cette famille Florio à l'incroyable expansion commerciale. Trois hommes déterminés qui vont, chacun avec leurs moyens, se démener pour faire grandir leur nom ainsi que leurs biens.
Je n'avais jamais entendu parler des Florio avant d'ouvrir ce roman. Et j'ai aimé découvrir certains d'entre eux avec ce premier tome. Stefania Auci s'est inspirée de leurs parcours pour écrire cette saga historique et a profité des béances des archives pour imaginer leurs pensées, leurs élans amoureux ainsi que leurs dialogues.
Ce genre littéraire peut se révéler un exercice périlleux avec des répliques qui sonnent faux et des attitudes qui font trop outrées. Mais, ici, je dois reconnaître que j'ai complètement adhéré au pacte narratif. Même si certains protagonistes auraient pu être plus creusés, je me suis laissée porter par le sort de ces hommes et femmes. Avec en toile de fonds des paysages siciliens où la mer n'est jamais loin et des couleurs éclatantes.
L'intrigue se découpe en plusieurs parties et chacune d'entre elle s'ouvre par une contextualisation historique. Une belle manière de mieux découvrir l'île et ses soubresauts au 19ème siècle. Et qui couplée aux descriptions de la vie économique et des développements techniques permet de composer un panorama détaillé de la Sicile en cette période.
Bref, vous l'aurez compris : si vous cherchez une saga familiale et historique, ce titre sera parfait pour vous. J'ai déjà acheté le 2ème tome de mon côté.
En 1799, deux frères, originaires de Calabre, Ignazio et Paolo ainsi que son épouse Giuseppina quittent leur région natale à la suite d’un énième tremblement de terre. Ils se réfugient en Sicile, à Palerme plus précisément. Très ambitieux, aux caractères bien trempés et malgré leur peu de fortune, ils n’ont de cesse de se faire une place dans la société palermitaine. Il se lancent dans une entreprise de négoce, qui année après année, connaitra un bel essor. Ingénieux, ils diversifieront leurs activités.
Tome 1 sur un total de 3, Les Lions de Sicile, retrace donc la saga de la famille Florio sur la première partie du XIXème siècle. L’autrice Stefania Auci, nous facilite la compréhension du contexte historique par un petit topo, avant les divers chapitres, sur les faits majeurs en Sicile et dans. le reste de l’Italie actuelle Ce roman reste donc intéressant historiquement et socialement avec les dualités parvenus/aristocrates et hommes/femmes, malheureusement cette étude ne se fait pas assez en profondeur. Les années défilent trop rapidement au gré de quelques scènes de vie de famille. On apprend, tout de même, grâce à la bonne documentation sur le négoce dans cette partie du bassin méditerranéen.
Ce livre va vite, très vite, peut être trop. 3 générations en 1 seul tome quand on sait qu il y a plusieurs tomes… mais captivant, il faut le reconnaître. Surtout quand on comprends que cette famille a réellement existée.
Partons pour la Sicile, à Palerme, plus précisément.
En 1799, deux frères, Paolo et Ignazio Florio, sont venus s’y installer. Ils ont quitté leur petit village de Calabre espérant y trouver une vie meilleure.
Travailleurs acharnés et ambitieux, les deux frères ouvrent une petite échoppe où ils vendent des épices. Malgré le très mauvais accueil des autres commerçants qui ne voient en eux que des étrangers « dont le sang pue la sueur », ils vont réussir à devenir des concurrents redoutables.
Paolo, l’aîné, a des rêves de respectabilité et d’élévation sociale. Tout son temps est consacré au travail, et peu importe qu’il délaisse sa femme et son fils Vincenzo. Après son décès, Ignazio prendra sous son aile le jeune garçon, le formant afin qu’il puisse prendre la relève.
Ce que celui-ci ne manquera pas de faire, surtout qu’il est animé de la même flamme que son père. Son sens des affaires, son ingéniosité, son sens de l’anticipation lui permettront de faire grandir la Maison Florio jusqu’à devenir un empire.
Mais sa réussite ne le mettra pas à l’abri des vicissitudes et des drames de la vie.
Ce que j’ai aimé dans ce roman : la vie de cette famille, les portraits psychologiques des personnages, la découverte de l’histoire de la Sicile du XIXème, dont finalement je connaissais peu de choses.
Les 550 pages de ce premier tome ont été lues très vite. Je me suis laissée emporter par le tourbillon de cette famille Florio qui a réellement existé.
En 1799, un tremblement de terre touche durement – une fois de plus – la bourgade de Pietraliscia (en Calabre) où vivent Paolo Florio, sa femme Giuseppina (et leur bébé Vincenzo) son frère cadet Ignazio ainsi que Vittoria, la fille (orpheline) de leur défunt frère ainé, Francisco. Les frères Florio ont également perdu leurs deux parents dans le précédent séisme de 1783. Leur soeur Mattia a épousé Paolo Barbaro et vit dans la ville voisine de Bagnara avec leurs deux enfants (Raffaele et Anna).
Ne voyant pas l’avenir d’un bon oeil, Paolo et Ignazio Florio vont partir s’installer à Palerme (en Sicile) où ils possèdent un magasin d’épices avec leur associé (et beau-frère) Paolo Barbaro, resté à Bagnara avec sa famille. Mais la déception sera immense à l’arrivée devant la décrépitude du commerce ! Et il faudra travailler sans répit et se battre bec et ongles afin de parvenir à se faire une place au soleil sicilien ! …
D’octobre 1799 à septembre 1868 (soit plus d’un demi siècle) l’auteure nous invite à suivre les aventures (heureuses ou pas …) des frères Florio et de leurs proches, puis de leur descendance (les trois enfants de Vincenzo et de son épouse Giulia : Angelina, Giuseppina et Ignazio « le jeune »)
Un enrichissant et captivant roman de 620 pages, à l’intrigue foisonnante, qui donne envie de poursuivre avec la lecture du second volet (« Le triomphe des Lions »)
J’adore les sagas… et tout particulièrement celle-ci.
Tout y est : les faits réels, le contexte historique toujours mentionné, l’Amour, la haine, les trahisons, les douleurs, la chaleur et surtout la Sicile
Vous avez l’esprit occupé ailleurs ; vous aimez l’histoire, les épopées familiales ; vous avez envie d’évasion, de soleil sans avoir à sacrifier la qualité ? Cette saga est faite pour vous !
Ce premier opus de la saga des Florio s’étend sur 70 années au cours du 19ème siècle ; soit deux générations de Calabrais arrivés à Palerme dans le but clairement assumé de faire fortune, et de se hisser au plus haut de l’échelle sociale !
Voici l’histoire de Paolo et Ignacio arrivés sans le sou à Palerme, fuyant un énième séisme ravageur, démarrant petitement dans le commerce des épices, affrontant l’hostilité et la jalousie féroces des Siciliens. Il faut dire que les deux frères ont de l’ambitions pour quatre, et que rien ne les arrêtera ; ni les aléas de l’histoire à la fois présentée de manière formelle à chaque début de partie, et astucieusement intégrée au fil de la narration.
Les hommes occupent une part très importante de l’œuvre parce nous somme dans l’Italie du sud, et l’homme occupe toutes les strates de la vie sociales, en reléguant les femmes à leur rôle d’épouse et surtout de génitrice. En dépit de leur dureté de caractère, l’ascension économique des deux frères, puis de la génération suivante forge le respect de par leur intuition, leur sens des affaires, leur esprit d’entreprise, leur inventivité, et leur sens aiguë de la famille ; nous sommes en pays latin et profondément catholique, et par conséquent, on comprend assez vite que la morale intime est souvent à géométrie variable.
A contrario sous des aspects de femmes soumises, de bigotes et de Mama, les femmes agissent dans l’ombre, et à force de ténacité parviennent à faire entendre leur voix, aussi peu audibles soient-elles dans ce monde impitoyable pour elles.
Aimant les fresques historiques, j’ai particulièrement apprécié ce premier opus ; je l’ai trouvé très agréable à lire, instructif, et traitant bien ses personnages. Il me tarde de retrouver les Florio dans le second opus !
https://leblogdemimipinson.blogspot.com/2022/07/la-saga-des-florio-1-les-lions-de-sicile.html
Avec ce premier opus de « La saga des Florio », Stefania Auci, d’une écriture fluide et rythmée nous offre une fresque où s’entremêlent l’histoire de la Sicile, celle d’une époque et celle d’une famille.
Ce premier tome court de 1799 à 1866, du moment où Paolo Florio , suite à un nième tremblement de terre, décide de quitter sa Calabre natale pour Palerme avec son épouse Giulia, son fils nouveau-né Vincenzo et son frère Ignazio afin de développer leur herboristerie jusqu’au décès de Vincenzo qui a enfin vu son vœu le plus cher se réaliser. Travailleurs acharnés et visionnaires, partis de rien et devenus extrêmement riches, ils ne seront jamais reconnus par les aristocrates palermitains qui les considèrent toujours comme des « hommes de peine », car seul le sang fait la différence.
Pour cet opus, nous suivons sur deux générations, les évènements heureux et tragiques qui jalonnent l’histoire de cette famille.
L’auteure, par son sens de la narration, nous entraîne à un rythme effréné dans le quotidien des Florio dont les personnages aux caractères bien trempés, fiers et résilients nous sont, au fil des pages, rendus attachants.
Chaque chapitre, couvrant une période d’une dizaine d’années, commence par un résumé de la situation politique de la Sicile, liée à la France des Bourbons et à l’Angleterre et qui impacte directement l’avenir des Florio.
Une belle découverte littéraire qui nous permet de découvrir l’histoire de la Sicile au travers de cette dynastie et de ses patriarches.
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