Suspense, sentiments, humour et jeunesse pour tous les lecteurs !
« À coeur vaillant, rien d'impossible » Lorsqu'une tragédie change à jamais sa vie, la jeune Alice Hart, âgée de neuf ans, part vivre chez sa grand-mère qu'elle ne connaît pas. Quittant le bord de l'océan où elle a grandi, elle trouve refuge dans la ferme horticole de June, où celle-ci cultive des fleurs sauvages d'Australie.
Au fil du temps, Alice oublie les démons du passé et apprend à perpétuer la tradition familiale en utilisant le langage des fleurs pour remplacer les mots lorsqu'ils se font trop douloureux.
Mais l'histoire des Hart est hantée par de nombreux secrets que June cache à sa petite-fille. Une sorte de fatalité semble accabler les femmes de leur famille, aussi June préfère-t-elle tenir Alice à l'abri de la vérité, quitte à la tenir à distance de l'amour.
Une fois adulte, révoltée par ce silence et trahie par celles qui lui sont le plus chères, Alice se rend compte qu'il y a des histoires que les fleurs seules ne peuvent raconter. Si elle veut être libre, elle doit partir et inventer l'histoire la plus importante de toutes : la sienne...
Traduit de l'anglais (Australie) par Anne Damour
Suspense, sentiments, humour et jeunesse pour tous les lecteurs !
« Les Fleurs sauvages » de Holly Ringland est un vrai plaisir de lecture, je suis encore sous le charme de cette histoire de fleurs, de langage et surtout de femmes.
Des fleurs, des fleurs, des fleurs !!!
Autant vous dire que vu mon état d'esprit du moment (j'ai envie de fleurs), ce livre tombait à pic !
Et à ce niveau-là, j'ai été servie. C'est une véritable débauche de fleurs, de couleurs, de senteurs.
Chaque chapitre porte le nom d'une fleur et commence par le nom latin de la fleur, l'endroit où elle pousse, sa signification, sa description et une très belle illustration d'Edith Rewa.
J'ai particulièrement apprécié ces illustrations ainsi que les citations qui émaillent le texte.
Concernant l'histoire, j'émets plus de réserves, c'est une jolie histoire mais les personnages m'ont paru manquer de nuances. J'ai passé un bon moment avec eux mais j'aurais aimé qu'ils soient un peu plus complexes.
Dans une famille où l’on utilise plus aisément le langage des fleurs que la parole pour exprimer ses sentiments, Alice grandit au bord de la mer, entourée de ses parents et sans contact avec l’extérieur.
Sa mère aimante et fragile est passionnée par les fleurs et leur langage, Clem, ce père au caractère changeant peut devenir jaloux et très violent envers sa femme et sa fille. Alice voudrait tant qu’il disparaisse et rêve même de le voir tel un phœnix renaitre de ses cendres. Jusqu’au jour où ses parents décèdent dans l’incendie de leur maison.
Choquée, blessée, et même muette, la petite fille de neuf ans est recueillie par June, sa grand-mère paternelle dont elle ignorait jusqu’alors l’existence. elle l’emmène dans sa ferme horticole de Thornfield, là où se sont également réfugiées des femmes cabossées par la vie. Alice cherche en vain des réponses aux mystères et aux secrets de sa famille auprès de cette grand-mère qui ne lui dira pourtant jamais rien.
Au fil des ans Alice apprend le langage des fleurs, le seul qui permet à ces femmes de s’exprimer. Car de lourds secrets pèsent sur ses aïeules, des secrets dont le poids s’alourdit de génération en génération. Lorsqu’elle découvre qu’elle a été trahie, Alice quitte cette famille et cette vie qui la maintiennent hors du monde. Elle fuit dans le désert et coupe toute relation avec la ferme horticole, le seul moyen d’enfin réussir à se retrouver au cœur de sa propre histoire et de sa liberté enfin gagnée.
Secrètes, aimantes, blessées ou fortes, maternelles ou amantes, les vraies héroïnes de ce roman – en dehors des fleurs et de leur langage – sont les femmes de la famille Hart et celles qui les entourent et parfois les protègent. S’ils n’ont pas vraiment le beau rôle, Alice saura malgré tout croiser la route d’hommes qui font figure d’exception et l’aideront sur le difficile chemin vers la résilience et le bonheur.
De nombreux thèmes sont abordés par Holly Ringland. En particulier ceux de la famille et sa complexité, du poids de la jalousie, de la solitude et du deuil. Elle aborde aussi le difficile sujet des violences faites aux femmes, de façon terriblement lucide, en particulier lorsque la passion amoureuse leur fait accepter l’inacceptable. Sans jamais juger, elle pose là des situations difficiles qui nous amènent à nous interroger sans pour autant trouver de réponse universelle.
Grâce à Alice, nous voyageons d’un bout à l’autre de ce pays continent. Chaque chapitre commence par un superbe dessin et par le nom et l’explication d’une fleur endémique d’Australie, sa signification en langage des fleurs ayant à chaque fois un rapport avec le dit chapitre. L’auteur nous transporte par son écriture et ses descriptions dans des paysages magiques, en nous permettant d’en voir la beauté et quasiment d’en sentir les parfums. Non seulement dans ces régions qui font la beauté et l’attrait de l’Australie mais aussi dans ceux tout droit sorti de son imagination.
Lire ma chronique complète sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2020/06/30/les-fleurs-sauvages-holly-ringland/
Ce roman a été une grosse déception pour moi.
Ma lecture démarrait plutôt bien. le lecteur est invité à suivre l'histoire d'une petite fille qui vit plutôt recluse avec ses parents et qui subit (tout comme sa mère) les violences de son père. Et puis survient le drame, la petite fille est confiée à sa grand-mère qui vit dans une exploitation de fleurs et qui accueillent de nombreuses femmes qui ont connu des soucis dans leur vie. Commence alors le long chemin de la reconstruction...
Et c'est à partir de ce moment que j'ai complètement décroché. En réalité, pour être tout à fait honnête, je me suis fermement ennuyé. J'ai complètement décroché et j'ai même fini par abandonner à la moitié du roman, ce qui ne m'arrive que très rarement. Je reprendrai peut-être une prochaine fois...
Pourtant, il n'y a pas que des défauts à ce livre car au-delà du rythme, l'écriture est plutôt agréable, la construction est classique mais maitrisée, il y a des personnages qui sont plutôt intéressants et dont on a envie de connaître l'histoire. Mais cette curiosité n'a jamais pris le pas sur l'ennui provoqué par ces très long passages où il ne se passe pas grand chose voir rien du tout.
Bref, vous l'avez compris ce roman n'a pas du tout fonctionné avec moi, ça arrive, je passe donc à autre chose !
Ce roman est une totale découverte, je ne le connaissais pas du tout, et je ne l'avais pas vu lors de sa sortie en broché. Je l'ai lu dans le cadre du Prix des Lecteurs du Livre de Poche, pour lequel il est sélectionné en catégorie littérature. Grâce à ce prix, je fais chaque moi de nouvelles découvertes qui sont bien souvent de bonnes surprises. C'est le cas avec ce roman de Holly Ringland, qui m'a emmenée en Australie, dans des endroits différents puisque le personnage principal vivra déjà sur la côte, avec l'océan, les plages de sable fin, puis elle vivra à l'intérieur des terres, dans le bush et le désert de sable rouge. Un magnifique voyage avec ses traditions et ses coutumes propres à ce pays.
J'y ai fait la connaissance de Alice. On la rencontre au début à l'âge de neuf ans. Elle vit sur la côte de l'Australie, près de la mer, avec ses parents. Son père est de nature violente, sa mère est plutôt effacée. Une terrible tragédie va venir perturber totalement la vie de la petite fille. Elle va perdre ses parents, et se verra recueillie par sa grand-mère June, qu'elle ne connaissait pas du tout. Celle-ci va l'emmener dans les terres, dans sa ferme horticole où elle cultive des fleurs sauvages d'Australie. Cette ferme est aussi un lieu de refuge pour des femmes touchées durement par la vie, June les appelle ses Fleurs. Elles l'aident à la culture des fleurs. Alice, depuis le drame, a perdu l'usage de la parole. Elle va apprendre à vivre d'une nouvelle façon. Elle se rend souvent à la rivière proche de la ferme, cherchant à retrouver l'eau et son côté apaisant. Elle apprendra vite que ce lieu a une signification particulière pour les femmes de sa famille et a été bien souvent l'objet de rencontres qui ont changé leur vie à toutes. Et cela se renouvellera également pour Alice qui rencontrera une personne qui va changer sa vie. Les secrets de famille sont nombreux et June reste mystérieuse et ne veut rien révéler à Alice. Celle-ci va apprendre avec sa grand-mère le langage des fleurs qui se transmet de génération en génération chez les femmes de la famille. Alice va parler à travers ces fleurs. Elle partira de chez June une fois adulte, car elle se sentira trahie par sa grand-mère qui lui aura caché un fait très important. Elle trouvera alors un travail dans une réserve du bush australien où elle fera de nouvelles rencontres très enrichissantes, et d'autres très envahissantes et destructrices. Et le passé refera surface, elle devra alors panser ses plaies qui se rouvriront.
Je n'en dirai pas plus, je pense déjà en avoir dit bien assez. Je me suis très vite attachée à Alice, à June et aux autres Fleurs présentes, mais aussi à Lulu et Ruby. Un univers, comme vous pouvez le voir, très féminin. Les hommes sont présents, mais très rares, et les deux plus importants ne sont pas très respectueux de la femme. C'est une histoire très féminine avec une transmission importante entre les femmes. Alice est une petite fille très attachante, on ne peut qu'avoir envie de la réconforter quand elle se retrouve orpheline, on voudrait qu'elle aille bien. Sa grand-mère va beaucoup l'aider, surtout au travers du langage des fleurs. C'est assez émouvant la corrélation qui est faite entre la perte de parole d'Alice et les fleurs qui peuvent exprimer des choses. Les secrets de famille prennent une place prépondérante, avec ce qu'ils peuvent avoir de lourdeurs et de conséquences dans la vie présente. Et Alice n'est pas au bout de ses surprises, tout comme nous, lecteurs, qui la suivons de près.
L'attachement pour les personnages s'est fait très facilement, grâce au très bon style de l'auteure. Elle utilise un choix narratif qui d'habitude ne facilite pas le rapprochement, puisqu'elle a fait parler son personnage principal à la troisième personne du singulier. D'habitude, je suis plutôt sensible à la première personne du singulier, ce « je » qui me permet de rentrer dans la tête du protagoniste et être au plus près de ce qu'il ressent. Et bien ici, malgré ce « elle », j'ai très bien pu ressentir les différentes émotions qui traversent tous les personnages, tellement l'auteure les décrit avec une grande sensibilité et beaucoup d'émotion. Elle a une écriture très fine, touchante, sensible, qui fait très bien transparaitre les sentiments de chacun.
Outre l'histoire et les personnages, elle donne aussi une place importante aux fleurs et au décor. La couverture est magnifiquement représentative de l'intérieur du roman. Les fleurs sont très présentes. Chaque début de chapitre est décoré d'un dessin d'une fleur sauvage poussant en Australie, avec sa description scientifique et sa signification. Certaines m'ont paru tellement intéressantes que je me suis, de mon côté, renseignée sur internet pour voir à quoi elles ressemblaient en vrai. Je pense notamment au pois du désert de Sturt, une fleur rouge sang avec une partie centrale noire en forme de boule. Cette fleur forme une sorte de tapis rouge présent dans le désert Australien, ressemblant à une sorte de mer aux flammes rouges. D'ailleurs cette fleur a une signification très chère à Alice et June, « à cœur vaillant, rien d'impossible ». Il y a ainsi trente chapitres, représentant ainsi trente fleurs et trente significations différentes. J'ai trouvé que ça donnait beaucoup de réalisme et de concret à l'histoire d'Alice.
Les décors sont eux aussi magnifiquement dépeints, que ce soit en bord de mer ou dans le désert. L'ambiance est bien retranscrite, j'ai senti en lisant la chaleur étouffante du bush, la douceur du sable, les embruns de la mer. Je me suis vraiment sentie dépaysée au cours de ma lecture.
Holly Ringland fait passer de très beaux messages au travers de ce que vivent ses personnages, renforcés également par le message des fleurs. L'amour a une place très importante, mais pas forcément l'amour entre un homme et une femme, bien qu'il y en aura tout de même, sinon ce ne serait pas la vie. Il y a aussi l'amour filial, celui qu'on se transmet de génération en génération. C'est aussi une formidable histoire d'amitié et de solidarité entre femmes, qui se tiennent les coudes et s'épaulent face aux problèmes. C'est également une histoire où la notion de résilience, chère à mon cœur, tient une place importante. Elle nous montre à quel point l'humain a la faculté de se relever et de se reconstruire face aux douleurs du passé, tirer les leçons et essayer de ne pas reproduire les mêmes erreurs.
Cette histoire rend aussi un très bel hommage aux différents peuples australiens, à leurs ethnies, leurs coutumes, leurs modes de vie. En lisant la biographie de Holly Ringland, j'ai appris qu'elle avait vécu quatre ans au sein d'une communauté aborigène dans le désert, et ça se ressent énormément, elle partage son expérience, elle les défend et montre à quel point chaque peuple est important dans le vie d'un pays. C'est une très belle leçon d'acceptation de l'autre, quelque soit son origine et la couleur de sa peau. Un message très important en ces temps troublés.
Les fleurs sauvages est le premier roman de Holly Ringland, et pour une première fois, c'est plutôt une très belle réussite. C'est très bien écrit, c'est captivant, ça se laisse lire tout seul. J'ai été intéressée dès le début et l'attention n'est pas redescendue tout le long des pages qui se tournaient vite. Il règne un certain suspense, bien sûr pas comme dans les polars, mais des tas de questions se posent tellement sur le passé de cette famille, sur ce que ces femmes peuvent cacher, et sur ce qui va bien pouvoir arriver à Alice, que du coup, j'ai lu avec une certaine avidité, pressée de savoir. La lecture est ainsi rendue addictive. Je ne me suis pas ennuyée une seconde.
Ce roman est une très belle découverte pour moi. J'ai beaucoup aimé les explications de l'auteure à la fin du livre sur comment est né ce roman, comment elle l'a écrit et où elle s'est renseignée. C'est toujours intéressant de connaître la genèse d'un livre et d'une histoire. Je pense que je vais noter dans un coin de ma tête le nom de cette auteure, Holly Ringland, elle écrit avec une telle passion qu'elle le transmet au travers des pages. Elle m'a dépaysée, changée de lieux et de monde, j'ai beaucoup aimé.
Je ne peux que vous conseiller ce livre pour le beau voyage que l'on fait, pour la belle histoire que l'on vit, pour les beaux personnages que l'on rencontre. C'est à nouveau une belle découverte grâce à ce prix, le choix pour ce mois va être très difficile...
En plus d’une magnifique couverture, tout le livre se retrouve sublimé par de merveilleux dessins d’un grand nombre de fleurs et plantes, germants pour la majorité sur le continent australien. Amateurs de botanique, je ne peux que vous conseiller de parcourir les pages de ce très bel ouvrage. Chacun des 30 chapitres est précédé de l’esquisse et de l’explication d’une fleur sauvage. Ayant grandi dans le jardin tropical de sa mère, l’auteure, Holly Ringland a le don de vous décrire un environnement, sa chaleur, ses odeurs. Rien que par sa forme, ce livre mérite d’être ouvert et feuilleté.
A côté de cela, l’histoire qui vous y est contée ne pourra que vous toucher par la sensibilité de la plume de Holly Ringland. Véritable voyage au coeur du bush australien, ce sont des territoires sauvages, très différents selon les régions que vous fera découvrir l’auteure. C’était déjà un continent qui me faisait rêver, mais encore plus maintenant.
À l’écart de toute ville, Alica Hart grandit entourée de sa mère soumise et de son père violent. À neuf ans, touchée par une tragédie, elle part vivre chez sa grand-mère paternelle, June, dans une ferme horticole spécialisée dans les fleurs sauvages. Une nouvelle vie s’offre à Alice, entourée d’une communauté enrichissante à bien des égards. Pourtant, au fil des ans, les secrets si longtemps enfouis referont surface au grand dam des protagonistes, car certaines choses seraient mieux cachées pour toujours.
On suit Alice à partir de ses 9 ans, jusqu’à ce qu’elle devienne une jeune femme, qui reste entourée de non-dits. On évolue au fil des jours, puis au fil des années jusqu’à ce que la vérité éclate, blessant souvent les principaux concernés. Roman sur les non-dits, les secrets, la famille et l’amour, les fleurs ont ce pouvoir de mettre des mots, lorsque la parole est trop difficile.
C’est l’exemple même du roman contemplatif. Qu’est-ce que c’est, me direz-vous? C’est le livre dont on aime tourner les pages mais encore plus en savourer tous ses mots. Il est difficile de ne pas s’attacher à certains personnages, tant leurs failles les rendent si proches de nous. Alors qu’Alice devient une jeune femme et évolue dans sa vie personnelle et professionnelle, on aimerait tant que le récit se poursuive. Le pouvoir des fleurs occupe une place particulière, autant qu’un personnage à part entière le ferait.
L’auteure, Holly Ringland prend le parti de sculpter ses personnages masculins sous de mauvaises facettes, à l’exception de deux peut-être. Assez féministe par sa façon d’aborder le récit, ode aux femmes et à la résilience, Holly Ringland signe définitivement un premier roman d’apprentissage touchant et attachant.
Lu dans le cadre du Grand Prix des Lecteurs de l’Actu Littéraire.
Je remercie chaleureusement les éditions Fayard pour l'envoi, via net galley, de : Les fleurs sauvages d'Holly Ringland.
Suite à un événement tragique, Alice Hart est âgée de neuf ans quand elle part vivre chez sa grand-mère qu’elle ne connaît pas.
Adieu la côte, elle trouve refuge dans la ferme horticole de June, où celle-ci cultive des fleurs sauvages d’Australie.
Au fil du temps, Alice oublie les démons du passé et apprend à perpétuer la tradition familiale en utilisant le langage des fleurs pour remplacer les mots quand ceux-ci se font trop douloureux.
Mais l’histoire des Hart est hantée par de nombreux secrets que June cache à sa petite-fille...
Une sorte de fatalité semble accabler les femmes de leur famille, aussi June préfère-t-elle tenir Alice à l’abri de la vérité, quitte à la tenir à distance de l’amour...
Mais les silences, les non-dits, peuvent faire du mal et une fois adulte Alice va se révolter... et s'enfuir... Si elle veut être libre, elle doit partir et inventer l’histoire la plus importante de toutes : la sienne…
Grande amatrice des romans se déroulant en Australie, c'est avec plaisir que je me suis plongée dans celui-ci :)
Alice est une petite fille très attachante, qui vit dans des conditions difficiles avec un père différent des autres, une mère effacée.. Elle est à l'écart des autres enfants et se réfugie dans les livres.
Alice quitte tout pour se retrouver chez sa grand-mère, une parfaite inconnue. Les fleurs présentent dans cette magnifique ferme où elles sont cultivées vont aider cette petite-fille.
Le langage des fleurs est important, et l'enfant va l'apprendre petit à petit.
J'ai beaucoup aimé cet endroit magique, j'adorerais découvrir une telle propriété. Quand Alice grandit, elle va dans un autre endroit tout aussi magique.
L'ambiance de ce roman m'a charmé, de même que les paysages décrits. Je n'irais jamais en Australie, il y a trop d'heures d'avion pour moi. C'est pour cela que j'aime tant lire des romans s'y déroulant.
Les fleurs sauvages m'a captivé de la première à la dernière page. J'ai été touché par Alice, par sa grand-mère, par les femmes qui les entourent.
J'ai passé un très bon moment de lecture et je rajoute un petit mot sur la couverture, que je trouve très belle.
C'est tout naturellement que je mets cinq étoiles à ce très joli roman, à découvrir.
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