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La terre, l'amour, la guerre, le destin.
C'est l'êté, en Algérie, et tout commence dans la plaine de la Mitidja. Pierre passe ses vacances dans la ferme de son père. Cette première éducation qui le marquera pour la vie, ce monde colonial des années trente, Jean Pélégri les peint dans leur vérité même, avec une profondeur et une subtilité qui permettent d'évoquer William Faulkner. Puis Pierre, devenu adulte, participe aux campagnes d'Italie, de France et d'Allemagne et, pour finir, dans une petite ville algérienne traversée de tumulte et de flammes, voit naître la guerre qui bouleversera à tout jamais les lieux, les noms et les usages de son pays natal.
Itinéraire d'un homme jalonné de joies, de douleurs, de deuils, d'amours, d'amitiés, de trahisons, Les Etés perdus possède l'épaisseur et l'ampleur romanesques des livres qui vous laissent des souvenirs aussi forts que si on les avait vécus.
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