Paris 1777, un mystérieux prisonnier meurt en tentant de s'évader de la prison du Fort-l'Evêque. Dans le même temps, la reine Marie-Antoinette, prodigue et frivole, demande à Nicolas Le Floch de contrer les menées d'une intrigante. De Paris à Versailles, le policier des Lumières poursuit sa traversée du siècle et va de surprise en surprise. Qui est cette victime dont on ignore l'identité ? Quel secret se disputent Anglais et Français alors que les colonies d'Amérique se soulèvent ? A quelles fins dérobe-t-on un objet précieux à Frédéric II ? Nicolas Le Floch tentera de démêler les arcanes de ces affaires extraordinaires.
J'adore cette série, même si parfois je ne suis pas tout. L'attachant Nicolas le Floch poursuit ses aventures sous le règne de Louis XVI et Marie-Antoinette.
Outre les qualités intrinsèques de la série des "Nicolas le Floch" (descriptions pointues de la vie à Paris et Versailles dans la fin du XVIIIème siècle, recettes de cuisine de l'époque, ...), "Le cadavre anglais" développe la problématique des relations conflictuelles entre le royaume de France et l'Angleterre, dans un contexte de lutte d'influence en Europe et aux Amériques.
Peut-être est-il plus difficile de rentrer dans cet opus, mais au fil des pages l'intrigue s'étoffe et l'envie de la dénouer devient plus forte. Et c'est toujours un plaisir de retrouver les personnages de JF Parot !
J'ai du m'accrocher pour le finir celui là... Autant les descriptions des recettes de cuisine, les plans de Paris au temps des Lumières hyper détaillés, c'est intéressant au début mais là, sincèrement, ça commence à devenir pesant... On les voit arriver à dix kilomètres... Et finalement j'ai ri, en lisant les notes renvoyant à la fin du bouquin pour expliquer ou donner des synonymes de termes ou expressions qui ne sont pas plus compréhensibles après les avoir lues !
Si vous n'avez pas lu les précédents tomes, je pense que vous pouvez passer votre chemin, les notes qui renvoient à des aventures précédentes sont légion.
J'en profite pour passer un coup de gueule contre l'éditeur, Lattès, qui aurait pu mettre ces (trop nombreuses) notes en bas de page car à devoir chercher à la fin du bouquin toutes les cinq minutes , on perd le fil.
L'histoire n'est pas plus intéressante que cela, ça tourne en rond, et finalement à la fin on se dit "tout ça pour ça"... Bref, ce livre ne restera pas dans les annales.
Il faut s'accrocher pour le lire parce-que si vous le délaissez ,ne serait-ce que 3 jours;vous seriez obligé de reprendre au-delà de la page que vous aviez marquée.Il reste sur l'estomac.
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