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Au fil de ses oeuvres, Jean Ray cite souvent avec gourmandise Geoffrey Chaucer (1340-1400) - le père de la littérature anglaise - comme Balzac le faisait de Rabelais pour ses Contes drolatiques. L'écrivain belge dans les Derniers contes de Canterbury rend explicitement hommage aux fameux Contes de Canterbury qui, avec le Decameron de Boccace, sont pour lui des textes fondateurs. Chaucer mettait en scène des pèlerins en route vers la cathédrale où se trouve le sanctuaire de Thomas Beckett. Dans ce recueil, très concerté, paru en 1944, Jean Ray confie la tâche à des fantômes qui conversent, hôtes de la taverne dans laquelle Chaucer situe les protagonistes de ses Contes. Le narrateur dit d'ailleurs avoir rencontré Chaucer lui-même au hasard des recoins mystérieux de Londres. Et tous ces hôtes de la nuit racontent d'immémoriales histoires où la ténèbre et l'humour font bon ménage. On y rencontre le chat Murr d'Ernst Theodor Amadeus Hoffmann aussi bien que sir John Falstaff, le truculent personnage de Shakespeare.
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