80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
"... Le Portefeuille, les trous à pêche, rue Grande, Place de l'Enchère, le beffroi, l'épicerie, le coiffeur... pas la peine d'être fin limier pour deviner en ce jeune homme un enfant du pays : un pur "bénédictin". C'est pas mal : une chaleur excessive - bien mieux que la canicule -, celle des souvenirs d'enfance, celle de l'été en gloire et en mémoire, du temps arrêté, des vieilles pierres brûlantes. On sent ça très bien, qui vous tombe sur la nuque en quelques mots. Sans compter le premier chagrin d'amour, lancinant à souhait, comme premier symptôme éclatant de « l'irréalisable » qui deviendra vite le lot quotidien. La forme est éminemment sensitive (ce qui vaut mieux pour la poésie !) et même souvent narrative tout en n'excluant pas l'ellipse, le poème ramassé ou des notations à l'accent émazien : On n'efface pas ; On n'oublie pas. C'est varié en somme, il faut simplement que les mots réussissent, et notre auteur reprend l'idée... la met en pratique avec un certain bonheur, il faut le dire." JEAN-PIERRE GEORGES
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