80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La recherche de l'expression du mouvement est une des constantes de l'histoire de la représentation du réel en image. À son origine, au milieu du XIXe siècle, comme tout nouveau médium, la bande dessinée a emprunté à d'autres arts comme la peinture, la gravure, l'estampe, la statuaire, plus tard la photographie, un certain nombre de techniques pour tenter d'atteindre ce but. Mais par sa spécificité même, elle a rapidement créé son propre vocabulaire, ses nouveaux codes. Elle a trouvé des solutions novatrices pour résoudre une gageure : parvenir à ce que des images fixes, par essence immobiles, donnent l'illusion du mouvement, donc de la vie. L'inventivité de ses auteurs permet que de nouveaux moyens soient constamment élaborés pour exprimer le mouvement graphiquement, démontrant une fois de plus la créativité et la richesse de la figuration narrative. Repères : Ce cahier est le sixième titre de la collection des cahiers de l'image narrative, après notamment le rough, le scénario et le personnage, on s'attaque au mouvement, qui n'est que très rarement abordé dans les ouvrages techniques.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année