Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Quand un voyageur est stationnaire, c'est l'univers qui tourne autour de lui, le soleil qui le regarde, la lune qui rêve à sa place.
S'attacher à la Terre, c'est tisser des liens profonds avec la planète, reconnaître ses eaux, ses cieux, ses oiseaux, les voisins qui poussent tout près, cyprès parfois.
Dans le règne végétal, on est une graine, une racine, une tige, un remède, un tronc, une demeure, un refuge, un phare, un château, l'emblème du pays, le cèdre du Liban, le baobab du Sénégal, le séquoia de la Californie, l'épinette noire de l'Abitibi !
On dit des pierres qu'elles sont tristes, que le velours est doux, qu'il y a des gueules de bois, des fleurs du mal, l'air du temps, l'eau de là.
Dans ces conditions, facile d'imaginer le voyage d'un grand pin.
Bonne route...
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