"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Très jeune, Valentin Peroy apprend à ses dépens l’importance de la maxime : « Après l’heure, c’est plus l’heure » et finit par en tenir compte. Henri Castafolte a inventé le premier modèle d’introspecteur, une étrange machine à explorer les souvenirs. En 2010, lors d’un match de football, un but refusé à l’équipe de Marseille a causé le lynchage de l’arbitre et marqué le début d’une interminable guerre civile. Henri et son ami Raph décident de retourner dans le passé pour essayer d’arranger ça. Mais la terrible Brigade Temporelle est à leurs trousses…
Ce premier épisode intitulé « Après l’heure c’est plus l’heure » est en réalité l’adaptation sous forme de feuilleton d’une série télévisée relevant à la fois du registre de la science-fiction et de celui de l’humour. Il est certain que le ton est léger et certaines situations plutôt cocasses, mais le lecteur pouvait s’attendre à beaucoup plus loufoque. En ce qui concerne le volet SF, cette histoire de machine à explorer les souvenirs, autant dire à remonter le temps et cette intrigue basée sur des mondes parallèles ne brillent pas par une extraordinaire originalité. Sans doute faut-il se contenter d’une lecture de divertissement et ne pas en demander plus. Comme le style est agréable, efficace et bien rythmé, l’ensemble fonctionne assez bien et le lecteur peut facilement avoir envie de continuer la série après ce premier épisode offert par Bragelonne.
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