80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Quand il survient une bataille entre l'ange et le démon ; quand Paris n'est plus qu'une ville atrophiée de douleurs ; quand notre monde actuel devient apocalypse, alors se meurt l'âme d'un poète. La rose épineuse se transforme en fleur du mal, le séraphin arpente les rues, et la poésie, quant à elle, devient chose errante...
Dans un climat oppressant et baroque, faisant se confronter physiquement toute une galerie de personnages mythologiques et issus du folklore, Emilio Tabasco dénonce la poésie comme un genre littéraire en voie de disparition. A travers tout un florilège de poèmes au rythme musical, il chante la mort du poète, ce « personnage étrange tourné vers l'inconnu », dans des tableaux aussi apocalyptiques qu'empreints d'une certaine lueur d'espoir.
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