Il n'est pas trop tard pour les découvrir... ou les offrir !
Sur la toile, peinte il y a cinq siècles, un seigneur et un chevalier jouent aux échecs, observés depuis le fond par une femme en noir. Détail curieux : le peintre a exécuté ce tableau deux ans après la mort mystérieuse dun des joueurs et tracé l'inscription «Qui a pris le cavalier ?», également traduisible par «Qui a tué le cavalier ?».
Tout cela n'éveillerait que des passions de collectionneurs si des morts violentes ne semblaient continuer la partie en suspens sur la toile. Et c'est ainsi que l'histoire, la peinture, la logique mathématique viennent multiplier les dimensions d'une intrigue elle-même aussi vertigineuse que le jeu d'échecs...
Une oeuvre d'une originalité étonnante, traduite dans de nombreux pays et couronnée en France par le Grand Prix de littérature policière 1993.
J'ai aimé les personnages, même ceux qui meurent en cours de route.
J'ai aimé le tableau et son inscription cachée.
Mais j'ai moins aimé la partie d'échec, trop technique à mon gout.
J'ai cependant aimé que cette fameuse partie, ou plutôt la façon dont les pièces se déplaçaient aient un rapport avec l'intrigue policière. Ca c'est du grand Art.
Mais le style un peu trop ampoulé, les descriptions parfois inutiles ont eu raison de ma patience, et j'ai terminé ma lecture en avance rapide.
Julia, restauratrice d'art, découvre sur un tableau du 15ème siècle, une inscription cachée : "qui a tué le chevalier ? ". le tableau représente une partie d'échec et elle apprend que l'un des joueurs, chevalier de son état, a été assassiné. Son ami homosexuel l'oriente vers un joueur d'échec chevronné pour l'aider à résoudre cette énigme. Ce n'est malheureusement pas la seule enquête qu'elle va devoir mener, car son ex, historien qui l'avait renseigné sur les personnages du tableau, est assassiné à son tour.
J'ai eu envie d'aller jusqu'au bout de l'histoire mais la lecture ne m'a pas semblé fluide. Et n'y connaissant rien aux échecs, je me suis parfois ennuyée car la fameuse partie du tableau est profondément analysée et se répète dans la vie réelle. Ca devient alors trop compliqué pour moi...
Julia, restauratrice d'art, découvre sur un tableau du 15ème siècle, une inscription cachée : "qui a tué le chevalier ? ". le tableau représente une partie d'échec et elle apprend que l'un des joueurs, chevalier de son état, a été assassiné. Son ami homosexuel l'oriente vers un joueur d'échec chevronné pour l'aider à résoudre cette énigme. Ce n'est malheureusement pas la seule enquête qu'elle va devoir mener, car son ex, historien qui l'avait renseigné sur les personnages du tableau, est assassiné à son tour.
J'ai eu envie d'aller jusqu'au bout de l'histoire mais la lecture ne m'a pas semblé fluide. Et n'y connaissant rien aux échecs, je me suis parfois ennuyée car la fameuse partie du tableau est profondément analysée et se répète dans la vie réelle. Ca devient alors trop compliqué pour moi...
Très bon polar, très prenant du début à la fin. Perez-Reverte est un peu le successeur d'Umberto Eco, en moins compliqué !
Après avoir terminé ma précédente lecture qui m'a beaucoup remuée (K.Giebel Toutes blessent la dernière tue), je me suis dit ... Bon ! après ça il te faut quelque chose de beaucoup plus léger, un tout autre genre ... C'est donc tout naturellement que mon choix s'est porté sur ce livre. Et là, à la fin de la lecture, c'est le choc émotionnel ! je reste (pardonnez moi l'expression ^^) sur le cul devant un tel chef d'oeuvre ... Mon dieu, que d'émotions !!!
Un livre qui me marquera, sans doute, à jamais ... je suis échec et mat !
Un très très bon polar qui prend pour départ un étrange tableau. Les personnages du tableau ne sont pas que de simples individus anonymes.... puisqu'ils racontent à travers une partie d'échec une série de meurtres contemporains. Un livre qu'on ne lâche plus sitôt qu'on l'a ouvert.
Une très belle intrigue policière ou tout se joue sur la charge symbolique d'un tableau flamand. C'est prenant et haletant à souhait sans tomber dans le ridicule à la Dan Brown. On retrouve certains ingrédients qui ont fait la force du magistral "au nom de la Rose" du regretté Umberto Ecco.
À lire... vraiment
L'auteur signe ici un excellent thriller avec en fil rouge une partie d'échec meurtrière débutée il y a 5 siècles.
Aucun mal à entrer dans l'histoire et on ne décroche pas une seule seconde de ce roman.
Je recommande sans aucune hésitation pour les amateurs du genre.
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