"Haute vallée de la Vésubie, en l’an 1535. [...] La duchesse Béatrice d’Aviz racontait, à l'envi, qu'elle faisait le voyage vers Nice pour mettre ses enfants à l'abri du froid qui menaçait leur santé devenue fragile, mais ce n'était qu'un prétexte pour ne pas étaler la faiblesse qui les poussait à fuir devant le roi de France. La longue colonne de mulets et de chevaux, qui s'étalait le long de la route Pagarine, ne devait en aucun cas faire figure de débandade. Il fallait, dans l'adversité, conserver bonne apparence."
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !
