"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans la cathédrale de Sainte-Marie à Vitoria, un homme et une femme d'une vingtaine d'années sont retrouvés assassinés, dans une scénographie macabre : ils sont nus et se tiennent la main comme des amoureux alors que les deux victimes ne se connaissaient pas.
Détail encore plus terrifiant : l'autopsie montrera que leur mort a été provoquée par des abeilles mises dans leur bouche. L'ensemble laisse croire qu'il existe un lien avec une série de crimes qui terrorisaient la ville vingt ans auparavant. Sauf que l'auteur de ces actes, jadis membre apprécié de la communauté de Vitoria, est toujours derrière les barreaux. Alors que sa libération conditionnelle est imminente, qui est le responsable de ces nouveaux meurtres et quel est vraiment son but ?
Une certitude, l'inspecteur Unai López de Ayala, surnommé Kraken, va découvrir un tout autre visage de la ville.
Dès le prologue, l’auteure donne le ton, Kraken, vient de se prendre une balle dans la tête, ses heures sont comptées et la narration à la première personne rend de suite le lecteur proche du personnage.
On est parachutée quelques jours avant cette introspection, à la Cathédrale de Sainte-Marie – Vitoria. Nous sommes en 2016, les corps d’un garçon et une fille sont retrouvés et la mise en scène est très proche d’une série de meurtres qui a eu lieu vingt ans plus tôt. L’inspecteur Unai Lopez de Ayala dit Kraken et l’inspectrice Estibaliz Ruiz de Gauna tentent de démêler les nœuds de cette enquête qui vient se télescoper avec celle qui a eu lieu vingt ans plus tôt, alors même que le coupable, Tasio Ortiz de Zarate, a été arrêté par son frère jumeau l’inspecteur Ignacio…
L’utilisation d’une double temporalité est très intéressante et donne un rythme encore plus effréné à cette enquête. Sur fond de secrets, de non-dits, de croyances, de superstition et d’ésotérisme, on retrouve tout ce qui fait le sel des intrigues espagnoles au cinéma, dont je suis particulièrement friande.
Véritable phénomène en Espagne, il m’était difficile de passer à côté de cet auteure espagnole, dont c’est le 5ème roman, avec une première traduction française.
L’intrigue est excellente, avec des personnages finement construits, dotés d’une psychologie propre, chacun apportant sa pièce à la construction, du sel à l’édifice.
On retrouve tous les ingrédients qui font un excellent thriller, auxquels l’auteure ajoute une touche de croyances basques et c’est franchement savoureux. On y trouve le piquant qu’il faut, avec ce savant dosage sans jamais tomber dans l’incohérence de certains récits.
Mention spéciale pour la traduction de Judith Vernant, dont j’avais déjà apprécié le travail avec « Je ne suis pas un monstre » de Carme Chaparro
J’ai particulièrement apprécié Vitoria, lieu de toutes ces perditions, qui devient un personnage à part entière, sous la plume de l’auteure, on décèle tout l’amour qu’elle porte au pays basque, particulièrement à la capitale de l’Alava, une des trois provinces de la Communauté autonome du Pays Basque, à travers les découvertes des cadavres, les lieux emblématiques de la ville sont mis en avant et c’est une véritable visite guidée nous est proposé.
À travers la plume de García Seáenz de Urturi, on découvre un premier tome d’une trilogie bien prometteuse, surtout quand l’épilogue, nous annonce que nous n’en avons pas terminé avec La Ciudad Blanca.
L’adaptation du livre en film, est excellente avec cette touche esthétique du cinéma espagnol qui n’a rien à envier au cinéma américain, je dirais même qu’il est bien meilleur, car tout en retenue avec des plans sombres, tout ce qui fait un bon thriller.
Un thriller au dénouement étonnant qui ne laisse pas indifférent. Les Rituels de l’eau (Los Ritos Del Agua), scond opus, ne devrait pas tarder pour mon plus grand plaisir, car les personnages n’ont pas fini de livrer tous leurs secrets.
Un roman agréable à lire et parfaitement bien construit, mais également une belle description d'une région dont on ne parle pas suffisamment, l'Alava, avec en toile de fond les légendes et curiosités historiques du pays basque.
Mais ce qui m'a le plus touchée, c'est la parfaite description psychologique des liens qui peuvent exister entre deux jumeaux et la complexité de leurs sentiments. Liens qui vont bien entendu jouer un rôle prépondérant dans l'enquête de deux policiers très attachants et au comportement parfois ambigu.
Un grand merci à NetGalley et aux éditions Fleuve noir qui m'ont permis de découvrir ce roman #NetGalleyFrance
Vitoria. C’est dans cette ville qu’une série de meurtres ayant eu lieu il y a vingt ans, reprennent. Tout porte à croire qu’il s’agirait du même assassin. Pourtant, ce dernier a été arrêté et est toujours en prison. À quelques jours de sa libération, cette enquête demeure un mystère. Les inspecteurs Unai et Estibaliz vont tout mettre en œuvre pour tirer cette affaire au clair.
Voilà bien longtemps qu’un thriller ne m’avait pas tenue autant en haleine. Le nombre de pages conséquent m’effrayait pourtant. Et bien je dois avouer ne pas m’être ennuyée un seul instant avec cette lecture. Eva a su maîtriser son récit à la perfection et a su construire une intrigue qui se dévoilera peu à peu au lecteur.
Dès les premières pages, j’ai su que ce thriller serait très difficile à lâcher. Beaucoup de mystères parsèment les pages, et Eva veille à bien laisser des indices sans jamais trop en dévoiler, afin de maintenir le suspense jusqu’au bout.
J’ai été réellement surprise par plusieurs rebondissements, qui sont justement dosés, afin de ne pas avoir cette impression de trop tout au fil des pages. Le dénouement est très réussi et peu à peu, j’ai compris comment les pans de cette intrigue allaient s’imbriquer.
Les personnages sont très bien construits. Par contre, je dois dire que j’aurais aimé avoir davantage d’explications quant au passé des deux inspecteurs. L’auteure n’a pas forcément approfondi cela, et je n’aurais pas été contre d’en savoir un peu plus sur eux.
Découvrir ce roman, c’est aussi une invitation au voyage. En effet, Eva nous promènera dans Vitoria et intègrera à son histoire plusieurs lieux. J’ai trouvé cette manière de faire très originale.
La plume de l’auteure est percutante et d’une grande fluidité. Les chapitres sont de taille moyenne, et en même temps que l’enquête actuelle, nous suivons une histoire parallèle surgie dans le passé. J’ai trouvé que Eva avait parfaitement su manier ces changements de temporalité.
Un excellent thriller, avec lequel j’ai passé un moment de lecture riche en rebondissements. Les pages ont défilé. À découvrir sans hésiter.
Rien à dire, ce thriller est d'une efficacité redoutable et coche toutes les attentes du lecteur amateur de ce genre :
- des crimes rituels surprenants : un homme et une femme du même âge retrouvés morts tendrement enlacés alors qu'ils ne se connaissaient pas, nus, tués par des piqures d'abeilles placées dans leur bouche scotchée … ceux-là ont 20 ans.
- un course contre la montre pour empêcher d'autres crimes, le décompte morbide semblant irrémédiable, bientôt ce sera un couple âgé de 25 ans puis 30 ans, puis 35 ans si personne n'arrête le tueur …
- un coupable désigné … sauf qu'il est déjà en prison … condamné pour des meurtres suivant le même protocole … sauf que c'était il y vingt ans et que la série avait commencé avec des nouveaux-nés, puis des enfants de 5 ans, 10, ans, 15 ans … sauf qu'il doit sortir bientôt et qu'il a un jumeau inspecteur de police qu'il a lui-même confondu et arrêté, sauf qu'un compte twitter à son nom envoie des messages ) l'enquêteur principal.
- un tueur en série absolument remarquable d'intelligence et de détermination, capable de contrôler ses pulsions sur une période de latence de vingt ans.
- un expert en profilage criminel qui mène l'enquête, il cache une fraîche tragédie personnelle qui ne lui permet pas d'aborder l'affaire comme à son habitude, ce qui rend son travail très délicat.
Malgré quelques lourdeurs au départ ou détails capillo-tractés, ce récit à l'intrigue sophistiqué est tissé de main de maître. On est complètement happé par le double arc narratif temporel enchâssé, procédé classique mais qui fonctionne de façon très pertinente ici : le récit présent de l'enquête et un récit qui débute dans les années 1970 et achève de ferrer le lecteur avec le mystère qu'il distille. le dénouement, c'est-à-dire l'identité du tueur, est quasi impossible à trouver et ça, j'ai adoré, d'autant plus qu'il est archi crédible au vu du cheminement construit par l'auteure, j'ai adoré me faire balader par ce thriller hautement excitant pour les méninges.
Surtout, j'ai apprécié l'ancrage de l'intrigue dans une ville riche d'histoire et légendes : Vitoria-Gasteiz, capitale de l'Alava, une des trois provinces de la Communauté autonome du Pays Basque. C'est une véritable visite littéraire que propose l'auteure. D'ailleurs, l'office du tourisme de la ville, face au succès colossal du livre en Espagne, a lancé un itinéraire spécial « le Silence de la ville blanche » . Il faut dire que Eva García Sáenz de Urturi met le paquet puisque chaque duo morbide est retrouvé dans un lieu emblématique de la ville blanche selon un parcours chronologique associé à l'âge des victimes, passant par le dolmen Sorginetxe à Arrizala , la cathédrale gothique Santa Maria ou encore la Casa del Cordon.
On se régale et pas uniquement parce que le roman est parsemé de références à la cuisine basque. Très réussi, divertissant et addictif au possible !
Mon coup de cœur de cette rentrée littéraire s'appelle :”Le silence de la ville blanche “. Un roman captivant de bout en bout , qui transpire de la passion de l'écrivaine pour sa ville natale , Vitoria Gasteiz , son histoire riche , son architecture marquant de son empreinte les siècles passés et la culture basque .
Les deux enquêteurs de la brigade criminelle , Unai et son équipière Estibaliz nous font parcourir les rues de la ville , les places , les bâtiments chargés d'histoire , à la recherche d'indices leur permettant de découvrir le coupable de ces meurtres , mis en scène , où à chaque fois l'on retrouve les corps dénudés d'un homme et d'une femme se touchant la joue dans un geste théâtral et émouvant , la bouche remplie de piqures d'abeilles . Un cérémonial criminel qui reprend étrangement le modus operandi d'assassinats perpétrés vingt ans plus tôt , par un archéologue médiatique, qui purge actuellement sa peine de prison . Un casse tête supplémentaire pour le duo policier et leur nouvelle cheffe , la sous-commissaire Alba Diaz .
Une enquête qui va plonger nos investigateurs dans le passé et les mystères enfouis de certaines familles de Vitoria , alors que le temps presse et que le danger semble dangereusement se rapprocher de nos deux protagonistes.
Les dons de profilage de “Kraken” comme l'appui psychologique de son grand-père seront un atout essentiel pour tenter de démasquer le responsable de ces crimes en série alors que les fêtes de cet été sous haute tension, battent leur plein .
Quelle richesse dans le récit ! Quelle tension dramatique ! Impossible de lâcher ce roman généreux en rebondissements. Les personnages sont un vrai régal : densité de leurs profils tant psychologique qu'historique sans parler de leur part d'ombre ..
On savoure sans partage le suivi de cette enquête trépidante qui , par la même occasion , nous fait découvrir cette belle ville aux multiples visages et à l'Histoire d'une densité rare , à laquelle s'agrègent avec la plus parfaite harmonie , rites païens , coutumes locales , légendes vivaces . Des prétextes à faire la fête dans cette ville qui semble respirer une joie de vivre innée malgré les difficultés et un climat de cette région montagneuse pas toujours clément .
En bonus l'auteure nous offre de très beaux moments d'émotions ( fortes) qui ajoutent à cette pépite littéraire un surplus de flamboyance , couronnant ainsi cette véritable réussite romanesque venue d'Espagne .
2016- Cathédrale de Sainte-Marie – Vitoria
Deux corps nus sont retrouvés : un garçon et une fille. L’inspecteur Unai Lopez de Ayala, surnommé “Kraken” et l’inspectrice Estibaliz Ruiz de Gauna se rendent sur les lieux du crime. La mise en scène n’est pas sans leur rappeler une série de crimes commis il y a 20 ans. Comment cela est possible, le coupable a arrêté, l’historien Tasio Ortiz de Zarate, par son frère jumeau l’inspecteur Ignacio ?
1969 – Blanca Diaz de Antonana est fiancée au richissime Javier Otiz de Zarate. Son médecin traitant, le Docteur Urbina, secrètement amoureux de celle-ci découvre que Blanca est loin d’être heureuse et bien traité par Javier.
Un thriller sombre, où la jalousie est omniprésente sur fond d’histoires familiales douloureuses.
L’enquête s’avère très complexe et va conduire nos enquêteurs sur des pistes bien différentes et les plonger dans l’histoire de la ville, de ses secrets enfouis depuis des décennies, qui ont aujourd’hui des conséquences dramatiques, détruisant tout sur leur passage.
L’auteur décrit comment un être né suite à un véritable amour, peut justement sombrer dans la folie, si ce même amour ne lui est pas transmis.
Ce roman est truffé d’ingrédients explosifs qui en font un excellent roman, qui se lit d’une traite.
Si vous n’avez pas vu le film, je vous le conseille vivement, il n’a rien à envier au livre.
A Vitoria, dans le pays Basque espagnol, la veille de la Saint Jacques, a lieu la fête de la blouse, prélude à celles de la Vierge blanche (Virgen Blanca) et tout le monde se retrouve dans la rue pour faire la fête. Dans la cathédrale Sainte-Marie, on retrouve deux corps, un homme et une femme assassinés, dans une mise en scène particulière : ils sont nus, se tiennent la main, la main de l’un posée sur le visage de l’autre et réciproquement. Et, petite signature : trois chardons « eguzkilore » en basque, c’est tellement plus joli et mystérieux !
L’enquête va démontrer qu’ils ne se connaissaient pas et qu’ils sont morts à la suite de piqures de guêpes que l’assassin avait pris soin de mettre dans leur bouche, les bâillonnant ensuite par un adhésif, dénué d’empreinte bien-sûr. Cette mise en scène rappelle des meurtres commis vingt ans plus tôt pour lesquels Tasio, archéologue très médiatisé, un des jumeaux d’une famille ayant pignon sur rue et surtout omnipotente alors. C’est Ignacio, policier, le propre frère de Tasio qui a procédé à l’interpellation à l’époque…
Qui peut avoir commis ce crime odieux suivi de plusieurs autres, alors que Tasio doit bientôt sortir de prison ? il faut donc reprendre l’enquête, ce qui sera fait par un tandem d’inspecteurs : Estibaliz Ruiz de Gauna et Unai Lopez de Ayala, alias Kraken, profileur.
« Je me fiais aux impressions d’Estibaliz comme la roue arrière d’un tandem se fie à la roue avant. C’était notre façon de fonctionner, de pédaler ensemble. »
Tous deux sont chapeautés par la sous-commissaire Alba Diaz de la Salvatierra, qui vient juste d’arriver au commissariat.
On se retrouve en pleine immersion dans cette ville de Vitoria, pleine de mystères, au passé prestigieux sur le plan historique, artistique, architectural, et le côté « endogame » comme dit l’auteure, « tous les gens nés à plus de cinquante kilomètres d’ici sont des « étrangers » disait la grand-mère » de Kraken. Mais aussi, on apprend beaucoup de choses sur les noms propres des gens avec une partie espagnole à laquelle un nom basque évocateur, de la région d’Avala, pour être plus précise, est ajouté ce qui nous donne des noms interminables qui sonnent bien dans l’oreille.
Autre élément important, que j’aime beaucoup dans les polars, l’alternance des récits entre les années 70 et l’époque actuelle, où l’on fait la connaissance de Javier Ortiz de Zarate, descendant d’esclavagiste, l’ignoble père des jumeaux et de Blanca Diaz de Antonana leur mère, qui est une femme maltraitée, par un mari jaloux, convaincu d’être intouchable.
Eva Garcia Saenz de Urturi nous promène dans la ville mais aussi dans la campagne environnante, au gré des légendes, des récits bibliques, les symboles en nous orientant vers différentes pistes. J’ai adoré cette enquête, cette promenade (ces promenades en fait) car il y a plusieurs évènements durant les fêtes de la Virgen Blanca et, cerise sur le gâteau, on sait dès le prologue que l’inspecteur s’est fait tirer dessus par le meurtrier…
En parlant de symboles : que peuvent signifier entre autres, l’eguzkilore, l’abeille, l’if, sans parler des postures dans lesquels sont retrouvés les victimes, ou encore leur âge qui raconte aussi une histoire…
J’adore ce genre de thriller, qui mêle des crimes bien typés, en rapport avec la religion, l’art, l’ésotérisme ou autres, avec des inspecteurs loin d’être parfaits, avec des failles. C’est très rare quand je mets un coup de cœur à un polar mais là je ne résiste pas, ce roman est génial, la lecture addictive. C’est le premier d’une série, alors j’attends avec impatience la publication en français du suivant…
Ce roman a été adapté en série disponible que Netflix: avis aux abonnés…
Un grand merci à NetGalley et aux éditions Fleuve noir qui m’ont permis de découvrir ce roman ainsi que son auteure dont le style est si particulier qu’on n’a plus qu’une seule envie, en le refermant, de se procurer le prochain… j’espère qu’il ne faudra pas attendre trop longtemps sinon je vais être obligée d’apprendre l’espagnol pour retrouver cet univers ;
#Lesilencedelavilleblanche #NetGalleyFrance
coup de coeur
https://leslivresdeve.wordpress.com/2020/09/25/le-silence-de-la-ville-blanche-de-eva-garcia-saenz-de-urturi/
20 ans après l'incarcération de Tasio, accusé d'une série de meurtres et ayant prochainement sa toute première permission, de nouveaux cadavres sont retrouvés, présentant d'étranges similitudes.
C'est le début d'une enquête qui va aller de fausses pistes en rebondissements tou au long de la durée de la fête votive de Vitoria.
Des personnages énigmatiques aussi bien avec les jumeaux que les journalistes et même la sous commissaire nouvellement arrivée, au passé lourd pour les deux policiers, ...
Un tour historique dans la ville de Vitoria et voilà un roman riche culturellement, un cocktail complet pour un passionnant moment de lecture.
L'enquête est vraiment bien menée, même si j'ai eu un peu de mal au début à me plonger dans cette histoire j'ai fini par être happée par cette intrigue, où l'on croit sans arrêt avoir enfin trouvé le coupable pour finir par se retrouver démuni comme au début de l'enquête alors que les meurtres continuent à se perpétrer.
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