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« Ce livre est un roman. Il parle de séparation. De deuil. De chagrin. D'homosexualité. De Gombrowicz. Des classes sociales. De courage. D'amour. Et surtout de garde alternée. Il n'a rien de fictionnel. La fiction ne m'intéresse pas. La fiction, c'est pour ceux qui n'ont rien à dire, les faibles et les lâches. Ceux qui trichent. Qui brouillent de manière délibérée la frontière entre littérature et vérité. Les choses sont assez compliquées comme ça. J'essaye au contraire de les réconcilier, sans doute pour me réconcilier avec moi-même. Et pour dire les choses telles qu'elles sont : chaque jour, je refuse que tu sois un enfant de parents séparés, je refuse que tu voyages chaque semaine, chaque semaine je refuse de te quitter. » Mêlant récit intime et analyse théorique, Patrick Rozborski s'interroge, à partir de la garde alternée qui constitue la pierre angulaire de ce livre, sur les processus sociaux, culturels, sexuels et politiques de la fabrique des identités.
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