"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Début 1918, la guerre civile éclate en Finlande.
Blancs et Rouges s'opposent ; les premiers soutenus par l'Allemagne, les second par les Soviétiques. En 1919, Runar Schildt publie Le retour où il aborde le conflit sans parti pris, avec une neutralité politique apparente. Il ne nous parle pas des grandes figues historiques, mais des répercussions qu'on pu avoir des idées et des événements sur des individus faibles, timides ou trop fiers, dont la vie va être bouleversée, voire détruite, par une société à laquelle ils ne peuvent s'intégrer.
Les circonstances tragiques de l'époque ont bien évidemment accentué et stigmatisé les réactions et les relations des êtres humains qui ont dû forcément s'impliquer, choisir leur camp. Mais le témoignage de Runar Schildt n'est pas limité au conflit qui lui sert de cadre, il est universel et ses portraits sensibles, subtils et justes sont toujours d'actualité. Ses Albin ou ses Aapo sont tout près de nous, changez les prénoms, et vous les retrouverez en ex Yougoslavie ou ailleurs, sans problèmes !
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