"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La nuit du 30 avril au 1er mai - nuit sorcière de la Walpurgis ou fête celtique de Beltaine - ouvre pour les traditions populaires le cycle du printemps. Marquée par l'inversion du temps, cette période de l'année, passage de la stérilité vers la germination, s'avérait naguère pour le monde rural tout à la fois porteuse d'espoirs et lourde de menaces.
Antoinette Glauser-Matecki rassemble croyances, dictons et récits, s'interroge sur les fêtes calendaires et la mythologie céleste du mois de mai ; elle étudie la cueillette des mais, le sacre des reines de mai et ses jeux sexuels réprouvés par l'Église, les rites associés à la lune rousse... Puis, en ethnologue, elle relève la survivance de nombre de ces coutumes dans nos campagnes.
Ainsi l'offrande du brin de muguet et les défilés joyeux de notre fête du Travail perpétuent le profond besoin, ressenti par chacun, d'accompagner la nature dans son oeuvre de renaissance.
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