Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
« Je me lève le matin avec le problème : 'Que puis-je faire qui n'a pas encore été fait ?' » - voilà la question qui hante Paul van Ostaijen. Pas étonnant qu'on ait pu observer que le poète n'a fait que débuter. Avec chaque recueil depuis Music-Hall (1916), il semble désavouer le précédent. Dans Les fêtes d'angoisse et de douleur, écrit pendant ses années berlinoises où il fréquentait les trouble-fêtes de Dada (1918-1921), il écrivait : « Je veux être nu / et commencer. » Cette volonté se traduit dans le titre du recueil qu'il préparait au moment où la mort l'a surpris en 1928 : Le premier livre de Schmoll. Il avait repris le titre d'une méthode de piano pour débutants, par lequel Paul van Ostaijen voulait indiquer qu'il y donne ses premiers exercices d'une nouvelle poésie, celle de la « poésie pure ». Dans le volume présent, nous faisons précéder ces exercices de poésie pure des poèmes grotesques qui datent de l'époque berlinoise.
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