80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
En pleine guerre de Cent Ans, Frère Jacqui, un pèlerin de Saint-Jacques-de-Compostelle, se trouve entraîné par Bertrand du Guesclin pour convoyer les Grandes Compagnies jusqu'en Castille. Après la défaite de Navarrette, il se retrouve prisonnier à Tolède, où il sera en contact avec les religions juive et musulmane qui, à cette époque, coexistent en parfaite intelligence avec la religion chrétienne. Il y découvre l'art mudéjar, symbiose de ces trois croyances, et en retire une philosophie nouvelle qui élargit considérablement sa vision des choses.
Son voyage de retour s'arrêtera dramatiquement en Bourgogne, où il est né.
Le hasard a voulu que, six cents ans plus tard, on retrouve, dans un sarcophage de pierre, son squelette avec les « coquilles » témoins de son pèlerinage...
C'est une préretraite précoce qui a conduit Jacques Mitaine vers l'écriture. Pour cet ingénieur du secteur industriel, la reconversion s'est faite d'abord par des articles dans la presse locale, puis par une pièce de théâtre, Cathe Nostra, et par un livre, Parole de Beurdin, relatant l'histoire de sa ville, Bourbon-Lancy en Bourgogne, à travers les propos d'un « simple d'esprit qui n'a pas l'esprit aussi simple ». Un personnage éternel, universel, au franc-parler qui allie tradition, humour et convivialité...
Jacques Mitaine est devenu Grand Maître de la Fratrie des Beurdins, une joyeuse confrérie où l'amitié est sûre. Dans un autre registre, il fut aussi conseiller général de Saône-et-Loire. Mais qui a parlé de retraite ?
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