Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Le pays ou vont mourir les reves la fin d un monde - la fin d'un monde

Couverture du livre « Le pays ou vont mourir les reves la fin d un monde - la fin d'un monde » de Olivier Cojan aux éditions Ella Editions
Résumé:

- Je me suis battu parce qu'il disait que ces cerises étaient à tout le monde, vu que c'est le soleil qui les fait murir et que le soleil c'est comme la mer, ils sont à personne ! avoua Hubert.- Peu importe ce qu'il a dit ! hurla Madame Amélie qui maintenant était très remontée contre son garçon... Voir plus

- Je me suis battu parce qu'il disait que ces cerises étaient à tout le monde, vu que c'est le soleil qui les fait murir et que le soleil c'est comme la mer, ils sont à personne ! avoua Hubert.- Peu importe ce qu'il a dit ! hurla Madame Amélie qui maintenant était très remontée contre son garçon et qui en avait les larmes aux yeux ! Se battre pour si peu de choses est indigne ! J'ai honte de toi !- Madame ! C'est pas de sa faute, se mit à crier Joseph pour se faire entendre, c'est moi qui lui a balancé une torgnole ! Et même qu'avant qu'il réponde j'y en avais balancé une autre et que je l'avais mis par terre !- Non ! C'est moi qui l'ai provoqué ! objecta Hubert, je l'ai traité de sale voleur !- Peut-être mais j'aurais dû me sauver sans vouloir te faire voir que c'était moi le plus fort et que tu me faisais pas peur ! C'est tout de ma faute si on s'est battus, Madame ! Il faut pas punir vot' fils !Ainsi, dans l'enfance, est née l'amitié entre Joseph Callac et Hubert Franquin. Les épreuves de la guerre, l'affrontement politique ou les chagrins n'y font rien, près de soixante années ont passé, mais en dépit de tout ce qui aurait pu séparer le militant communiste et le fils de bourgeois fidèle au général de Gaulle, la vieille fraternité demeure.

Donner votre avis