- Et le fugitif était un de vos serfs ? - Un serf ? Le mal serait assurément moins grand ! Le fugitif est...
Mon nez... - Hum ! Que voilà un étrange nom ! Et ce monsieur Monnez vous a pris une forte somme ? - Mon nez, vous dis-je ! Vous n'y êtes pas du tout. Mon nez, mon propre nez a disparu. Le diable aura voulu me jouer un tour ! - Mais comment aurait-il disparu ? Il y a quelque chose qui m'échappe. - Je ne peux pas vous dire comment ! Le plus grave est qu'il court présentement la ville en se faisant passer pour conseiller d'État.
C'est pourquoi je veux demander que quiconque l'attrapera me l'amène aussitôt, dans les plus brefs délais. Un matin, alors qu'Ivan lakovlevitch découvre un nez dans son pain, le major Kovaliov, terrifié, s'aperçoit au réveil de la disparition du sien. Ce dernier met alors tout en oeuvre pour le retrouver.
Un barbier découvre dans son pain un nez. C'est celui d'un assesseur de collège, lequel se lance à la recherche de son nez. Dans une rue, il le voit, vêtu d'un uniforme chamarré d'or.....
une nouvelle grotesque, incongrue, invraisemblable....qui fait penser à ce qu'on peut vivre dans un rêve (ou un cauchemar !)
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