80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Ma première fait miroiter le portrait d'un homme qui, décidant de s'entendre avec la mort, s'arme d'onguents et de solitude.Félicité, onze ans, signe ma seconde... Papa trompe Maman, qui boit. Il ne m'aime ni l'un ni l'autre. Ah, quel malheur d'être une surdouée !Si Laurence, trente-cinq ans, n'avait pas pour la première fois en dix ans menti à Jean-Louis qui en a soixante-dix, aurait-on su dans ma troisième qu'il y a des lettres qui blessent le coupe-papier ?Pour ma quatrième, à ma femme, cette dernière petite mort qui est encore la vie.Ma cinquième débute par une annonce du Nouvel Observateur et se termine à peine en amitié particulière.Ma sixième : deux jumeaux tiennent leur journal. Coups doubles et double cour. Le corps de Gisèle lui porte à la tête.Ma septième est une image. Après cinq ans de manque, Madeleine donne rendez-vous à Antoine sur un banc (précis) de Zurich et l'inaccompli s'achèvera. La vicomtesse d'Ambremeuse ne pouvait faire moins pour ma dernière.Et mon tout forme le Miroir aux fruits d'or. Huit nouvelles. Aux styles de l'amour on naît par l'amour du style.
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