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Mis au point dans les années 1950 sous l'impulsion d'éminentes personnnalités à l'instar du Premier ministre canadien Lester Pearson et du Sécretaire général des Nations Unies Dag hammarskjöld, le mécanisme de maintien de la paix de l'ONU, en tant qu'outil de gestion de conflits a beaucoup évolué avec le temps. A l'origine, il consistait à l'envoi de militaires de plusieurs Etats regroupés sous la bannière des Nations Unies en qualité d'observateurs civils ou à titre militaire pour surveiller les accords de cessez-le-feu ou aménager les zones tampons entre les parties belligérantes. Au lendemain de l'effondrement du mur de Berlin, cette conception a très tôt montré ses limites puisqu'on a assisté notamment en Afrique noire à une nouvelle typologie de conflits intra-étatiques aux conséquences désastreuses. Cette nouvelle donne a permis une modernisation de l'outil par des participations et apports de plusieurs Etats. Au demeurant, après près de soixante (60) ans de bilan, le mécanisme de maintien de la paix, lorsqu'il est déployé sous la bannière des Nations Unies, reste, bon an mal an, un des outils "les mieux aboutis" de l'Organisation mondiale.
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