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Telle une bibliothèque portative, cet ouvrage présente, sous emboîtage, une collection de 60 livres fictifs. Couverture, typographie, maquette, ils ressemblent à s'y méprendre à de vrais Que sais-je ? Mais l'auteur a détourné à son propre usage la fameuse encyclopédie de poche. Privés de leur fonction documentaire, les titres agissent ici à la manière de haïkus, ou comme les fragments d'une autobiographie : La nuit, Le marteau et l'enclume, Les lasagnes, Eddie Cochran sans moi, Le coup de la soudure, La maquette verte, L'oeil du chien, les faux nuages... Chacun d'eux est le titre d'un chapitre chargé de tous les possibles.
L'ensemble se lit comme une longue suite romanesque, un cadavre exquis au plaisir singulier et sans cesse relancé. Le lecteur a toute la liberté de conserver la bibliothèque complète, ou de détacher une à une les couvertures qui se transforment alors en cartes postales.
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