Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Du théâtre de la seconde moitié du XVIIIe siècle, la postérité n'a retenu que deux pièces : Le Barbier de Séville et Le Mariage de Figaro de Pierre Augustin Caron de Beaumarchais.
Phénomène curieux, si les biographies de l'auteur sont nombreuses, rares sont les études sur son oeuvre. Des textes qui suscitent pareil engouement deux siècles après leur rédaction méritent pourtant qu'on s'interroge sur les secrets de leur confection... Aussi, avons-nous eu envie de nous pencher sur le langage dramatique de Beaumarchais, envie de comprendre d'où vient l'efficacité de sa dramaturgie, d'où naît la joie si propre à ses dialogues dans l'oeuvre étonnante qu'est La Trilogie.
Le ton n'y est guère uni, la bienséance n'est pas toujours sauve, les vraisemblances sont fréquemment méprisées et les bigarrures du style font, pour l'abbé Brémond, de Beaumarchais " le pire fléau de notre langue "... Et pourtant, l'oeuvre demeure, qui séduit toujours - du moins les deux comédies au rythme gai et dynamique.
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