"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Tous les survivants de l'holocauste commencent à prendre conscience de la réalité de leurs rêves collectifs. Alors qu'ils se regroupent à travers le continent américain, les camps se forment. Les uns se rangent derrière la silhouette peu engageante de Randal Flagg, L'Homme qui marche, pour se diriger vers Las Vegas ; les autres choisissent leur place aux côtés de la rassurante Mère Abigail...
Ce sixième épisode est consacrée à Mère Abigail comme le titre le laisse supposer. C’est l’un des personnages importants de cette histoire, et c’était un personnage marquant qui m’avait laissé une douce impression il y a vingt ans, cette bande dessinée essaye de faire honneur au roman, même si je laisse moyennement satisfait du rendu, mais néanmoins, la bande dessinée reste fidèle au roman et l’adaptation est réussie.
Le récit est toujours aussi passionnant à suivre mais les auteurs ont une tendance à suivre assez scrupuleusement le roman d’origine.
Mais pour ma part, je suis et reste déçu par le graphisme qui reste parfois pour certaines cases, très décevant, et pour le reste d’un niveau très moyen. Je n’aime pas le style et ce n’est pour la réussite de l’adaptation que je continue à lire ces bandes dessinées.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !