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Ce neuvième tome voit la communauté de Boulder prendre des décisions difficiles. Dans le même temps Harold est approché par l’une des femmes qui se dit être la petite copine du diable, l’homme qui est l’opposé de Mère Abigail.
C’est un épisode de transition. L’histoire semble s’arrêter pour installer les bases de la suite, et nous l’imaginons assez facilement, le conflit qui s’ensuivra. C’est malgré tout une bonne continuité dans le récit même si cette phase qui permet de souffler est un cap toujours difficile de passer en bande dessinée. Les auteurs y arrivent plutôt bien.
Graphiquement, c’est identique aux albums précédents, on est dans un style américain, du comic en couleur. Je ne suis pas très fan de ce style mais le récit est là pour mettre au rang des bandes dessinées à lire cette longue saga.
Un neuvième tome paisible, bourré de révélations, mais au rythme plutôt lent. Une transition tranquille.
Dans cet épisode, nous sommes à Boulder où Mère Abigail et le groupe du Bien se réunissent. Mais dans cet album, l’histoire est plus centré sur Harold Lauder. Le récit est toujours aussi intéressant, prenant. Les personnages montrent toujours plus leur ambiguïté et leur complexité.
Déjà huit albums et toujours autant de plaisir à découvrir et lire cette adaptation très réussie du roman de Stephen King.
Le récit installe petit à petit tous les éléments, lentement, pour arriver au terme de cette histoire à un dénouement titanesque. Mais les auteurs de cette bande dessinée le font bien.
Graphiquement, je n’aime pas en revanche le style, très américain, très comics, pas du tout adapté à ce genre d’histoire.
Vivement le neuf…
Dans ce septième épisode, l’accent est mis sur Poubelle, le personnage pyromane qui est accueilli par la communauté dont la souveraineté est détenue par le personnage s’opposant à Mère Abigail. Poubelle est alors un personnage important, atypique et intéressant.
Le récit reste toujours aussi passionnant, les personnages sont à chaque fois destinés à réaliser des faits importants. J’aime la manière dont les personnages secondaires influencent l’histoire pour ensuite disparaître.
En revanche, le graphisme ne me plaît pas et j’ai trouvé cet album d’une qualité moins bonne que les albums précédents.
C’est une saga à suivre pour son récit bien adapté d’un roman de Stephen King devenu un classique.
Ce sixième épisode est consacrée à Mère Abigail comme le titre le laisse supposer. C’est l’un des personnages importants de cette histoire, et c’était un personnage marquant qui m’avait laissé une douce impression il y a vingt ans, cette bande dessinée essaye de faire honneur au roman, même si je laisse moyennement satisfait du rendu, mais néanmoins, la bande dessinée reste fidèle au roman et l’adaptation est réussie.
Le récit est toujours aussi passionnant à suivre mais les auteurs ont une tendance à suivre assez scrupuleusement le roman d’origine.
Mais pour ma part, je suis et reste déçu par le graphisme qui reste parfois pour certaines cases, très décevant, et pour le reste d’un niveau très moyen. Je n’aime pas le style et ce n’est pour la réussite de l’adaptation que je continue à lire ces bandes dessinées.
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