"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dernier épisode de cette magnifique adaptation d’un des meilleurs récits de Stephen King. C’est le dénouement de cette saga menée sur douze albums. L’histoire se termine ici ou n’est ce qu’un tour terminé pour un nouveau tour. En tout cas, cet album répond aux attentes du lecteur. Une réponse est apportée pour chacun des personnages rencontrés dans cette histoire.
Graphiquement, c’est moyen, et rien n’aura empêché les auteurs de proposer un album médiocre à ce niveau. Une superbe fin, ma servie graphiquement. Mais c’est ce qui ne m’aura pas plu dès le premier album.
La fin approche. Les pions sont avancés. Et Flagg se fait surprendre et par les gens de Boulder et par les gens de son propre camp. L’épisode est généreux. Le récit laisse peu de répit au lecteur. Qu’adviendra t-il des personnages que nous suivons depuis plus de dix albums. On commence à s’y attacher et les première pertes sont là, des hommes et des femmes meurent dans ce combat incessant, sans fin, du bien contre le mal.
Un très bon récit qui approche de son dénouement. Mais le graphisme est toujours aussi mauvais.
Cet épisode est un tournant important de l’histoire. Dans cet album, de gros bouleversements arrivent dans la communauté de Boulder. Ils décident d’envoyer un petit groupe vers Las Vegas pour éradiquer la menace, mais d’autres événements importants arrivent. Est ce le début de la fin, très certainement.
Un chapitre plein de rebondissements qui annoncent de graves difficultés à surmonter dans le prochain album. Que vont pouvoir faire les habitants de Boulder pour survivre à ce qui leur arrivent. D’un autre côté, l’homme en noir réunit ses forces et s’apprête à attaquer.
Un très bon album avec des graphismes encore une fois pas à la hauteur.
Ce neuvième tome voit la communauté de Boulder prendre des décisions difficiles. Dans le même temps Harold est approché par l’une des femmes qui se dit être la petite copine du diable, l’homme qui est l’opposé de Mère Abigail.
C’est un épisode de transition. L’histoire semble s’arrêter pour installer les bases de la suite, et nous l’imaginons assez facilement, le conflit qui s’ensuivra. C’est malgré tout une bonne continuité dans le récit même si cette phase qui permet de souffler est un cap toujours difficile de passer en bande dessinée. Les auteurs y arrivent plutôt bien.
Graphiquement, c’est identique aux albums précédents, on est dans un style américain, du comic en couleur. Je ne suis pas très fan de ce style mais le récit est là pour mettre au rang des bandes dessinées à lire cette longue saga.
Un neuvième tome paisible, bourré de révélations, mais au rythme plutôt lent. Une transition tranquille.
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