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Le dindon ou la farce ? chroniques d'une vie ordinaire

Couverture du livre « Le dindon ou la farce ? chroniques d'une vie ordinaire » de Engelbert Van Den Heuvel aux éditions Books On Demand
Résumé:

C'est en soixante cinq chapitres et chroniques, qu'est tracée une vie dite « ordinaire » de la naissance à la retraite. J'ai voulu savoir en écrivant ce livre, si l'on peut être le dindon ou la farce. Mais est-ce qu'on peut vraiment être certain qu'une vie se résume en réponses ?

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C'est en soixante cinq chapitres et chroniques, qu'est tracée une vie dite « ordinaire » de la naissance à la retraite. J'ai voulu savoir en écrivant ce livre, si l'on peut être le dindon ou la farce. Mais est-ce qu'on peut vraiment être certain qu'une vie se résume en réponses ?

Extraits :

HUMPY - page 7 Ma mère m'accouchait à dix heures le soir. Mon poids avoisinait les quatre kilos. L'après-midi, elle travaillait encore au buffet de la gare d'Utrecht.
C'était en 1942.
Elle était serveuse et spécialement au poste de café. Ce breuvage était, comme c'était l'usage, conservé dans un grand récipient, une sorte de super-thermos qui gardait le café au chaud. Pour servir, il suffisait d'ouvrir un robinet.
Ces derniers temps, elle était affectée à la plonge pour camoufler son ventre.
Mon père s'occupait de ses affaires. Il était beaucoup plus sain pour lui de ne pas trop se montrer. Il n'avait nullement envie de se faire enrôler d'office comme travailleur volontaire en Allemagne ....

LA PREMIERE FOIS - page 17 Je m'étais tricoté tout un cinéma et j'avais appris par coeur les paroles d'homme à lui dire. C'était certain, une fille comme elle, faut l'aborder avec certes du respect, mais aussi et surtout de l'autorité. Cela inspire l'admiration que la fille peut avoir pour toi. Mes conseillers m'avaient tout expliqué. J'étais armé pour me verser dans l'inconnu. Cet inconnu dont on parlait beaucoup, qui faisait rire les gens qui ne savaient pas trop pourquoi on rit.
...

ENFIN, TE VOILA TOI ! - page 94 Et là, le miracle se produisit, je n'écoutais plus. Les autres, les voix, s'estompèrent dans le vide.
Elle était là, devant moi. J'étais le plus chanceux des hommes. En deux secondes, j'étais tombé amoureux comme un dingue. Le coup de foudre magistral.
J'avais devant moi des fleurs, des bonbons, la lumière céleste et moi, j'étais là devant elle.
Elle me regardait, me souriait, me comblait, je n'avais même pas remarqué qu'elle me parlât aussi.

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