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"L'homme à la tête éclatée était un type tout jeune, un gamin entre quatorze et seize ans, de type européen, le teint mat. Il avait dû mesurer un mètre soixante-quatre à l'époque où il avait sa tête. Le coup qui l'avait tué provenait d'une arme à gros calibre. En attendant l'expertise balistique, le rapport s'en tenait à des suppositions. Sans doute une Smith et Wesson ou une Remington. Des armes courantes pour la chasse au sanglier et au chevreuil, calibre 280 ou 300. La mort avait été immédiate. L'affaire avait dû se passer le vendredi 22 octobre entre 22 heures 30 et 24 heures." Un jeune adolescent a été tué, un autre disparaît, dans le même lieu, au même moment. L'identification de la victime est impossible. Parents, policiers et gendarmes vont se méprendre sur son nom, à plaisir pour le lecteur. Quant à l'assassin qui ne pouvait pas prévoir la simultanéité de ces deux événements, il n'a plus qu'à se réjouir : le crime est devenu presque parfait.
Après avoir été instituteur et directeur d'école, Xavier-Laurent PETIT se consacre depuis quelques années à l'éducation de ses enfants et à l'écriture. Le Crime des Marots est son premier roman. Il a publié deux recueils de nouvelles, salués par la critique.
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