80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Les quinze dernières années ont été - entre autres - le théatre d'une invasion par la science économique de l'étude de la déviance. Certes, on pourrait remonter plus haut. C'est en 1931 que la commisssion
KATZENBACH 1 avait réalisé une estimation des coûts immédiats du crime pour la société. Et, plus anciennement, la pensée des réformateurs du 18ème siècle - celle notamment de C. BECCARIA 2 - recélait, technique en moins, des raisonnements analogues à ceux développés par les modernes "économistes du crime".
Il faudra s'appesantir ultérieurement sur la signification de tels précédents. Leur existence ne doit cependant pas faire perdre de vue ou mésestimer l'importance de la vague d'études récentes. Dans cette masse de travaux nouveaux, un bloc se dégage qui sera l'objet du présent ouvrage : les recherches communément appelées "coût du crime" par une discutable traduction littérale d'une expression anglaise fréquemment utilisée.
Par souci d'homogénéité et parce que nous reviendrons sur certaines autres orientations dans un ouvrage ultérieur consacré à la recherche prévisionnelle en criminologie, nous ne traiterons pas ici de tous les apports de l'économie en sociologie de la déviance.
En particulier, nous laisserons de côté les méthodes prévisionnelles employant des prédicteurs de nature totalement ou partiellement économique 10; également les travaux sur évolution économique (notamment crise) et criminalité.
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