"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le « vent fou » soufflait de nouveau dans un petit cirque, surnommé « le Parfait », où Hiramus avait été assassiné par trois inconnus... Le jour de sa mort, une partie des clowns pleurait sa disparition, d'autres s'en réjouissaient. Le directeur prit la parole et s'exclama : « Mes amis, que le spectacle continue ! Comme je sortais du chapiteau, Jo, un jeune idéaliste horrifié par la haine et la cruauté des trois assassins, me demanda comment c'était avant. Je lui répondis que c'était pareil qu'aujourd'hui, le « vent fou » faisait autant de ravages... La nuit, je revoyais l'image de mes amis de jadis et de tous les clowns de bonne et de mauvaise foi que j'avais côtoyés auparavant. En ces temps-là, j'étais trop jeune pour comprendre le sens du spectacle, l'enjeu des querelles entre les clowns et la nature de leurs passions. Dans le droit fil du Grand théâtre du monde de Calderon de la Barca, l'auteur aborde, métaphoriquement, la nature et la force des idéaux, des passions et des « folies » qui habitent les vrais et faux « acteurs » du « Cirque Universel »...
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