Vous aimez les polars ? Alors venez par ici : choisissez, lisez et chroniquez !
Des brumes de Londres au soleil éclatant de Marseille, des policiers sont assassinés dans la plus sordide des mises en scène, avec un même symbole tatoué sur la langue. Scotland Yard et la police française s'allient pour remonter la piste de ces vengeances diaboliques. Des deux côtés de la Manche, les meilleurs enquêteurs associent leurs méthodes pour traquer celui qui les humilie en s'attaquant aux plus grands flics. Quelle folie humaine peut réussir à « opérer » avec une telle expertise chirurgicale ?
Spécialiste des quartiers sensibles et des situations extrêmes, Paul Merault sait d'expérience que le crime n'a pas de patrie et n'épargne aucun milieu. Ses fictions dépassent la raison, mais reflètent les sombres réalités des prédateurs d'aujourd'hui.
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Un roman policier percutant, des description simples et claires, une histoire originale. Une écriture efficace, bref tous les ingrédients pour un bon polar. Je l'ai lu en 24h.
e policier Peter James est retrouvé mort et étrangement mutilé dans le quartier de Brixton à Londres. Le superintendant Perkins et sa jeune adjointe Ann Smith mènent l'enquête.
À Marseille, le commissaire Martinez, chef de la brigade criminelle, est retrouvé assassiné et spectaculairement suspendu à la façade du commissariat. Fraîchement nommé dans la ville après une sombre histoire à la PJ parisienne, le commissaire Caradec est désigné pour lui succéder et piloter l'enquête.
Très vite, il apparaît que les deux affaires sont liées ; Ann Smith est alors détachée à Marseille pour faire le lien entre les deux enquêtes.
S'agissant du prix du Quai des Orfèvres 2019, je m'attendais à mieux. Perkins et Caradec apparaissent comme des caricatures de flics à l'ancienne ; seul le personnage d'Ann Smith semble apporter un peu de modernité. L'intrigue est bien conduite, avec ce qu'il faut de rebondissements, mais le suspense est éventé bien avant la fin, et l'on comprend mal pourquoi le policier français ne voit pas la solution qui lui est presque apportée sur un plateau. Ne parlons pas des motivations du tueur...
Il reste que c'est bien écrit, facile à lire, et surtout bien documenté sur les procédures judiciaires françaises et britanniques. Ce qui sauve un peu le livre.
Je m'attendais à mieux, compte tenu du prix prestigieux obtenu par ce roman...
http://michelgiraud.fr/2020/08/26/le-cercle-des-impunis-paul-merault-fayard-un-bon-polar-un-peu-decevant/
L'enquête est prometteuse, des morts à Londres, et à Marseille, avec la même signature. Et pas n'importe quels morts : des policiers!
Nous avons donc deux équipes d'enquêteur, mais que ce soit coté français, ou coté britannique, la magie n'a pas opéré chez moi.
Nous avons affaire à des enquêteurs, qu'on n'apprend jamais à connaitre. On referme le roman en se demandant presque qui étaient les personnages principaux...
De même, l'enquête passe par des moments ou on jurerait que des coupures ont été faites.
Aucun moyen de se mettre à la place des enquêteurs, car on passe quasiment du coq à l'âne.
La fin est bâclée, j'avais hâte de comprendre, et j'ai tout simplement refermé en me disant deux choses : Et après? Et finalement : tout ça pour ca!
Cela fait un bon moment que j'ai pour habitude de lire le prix quai des orfèvres, le cru 2019 ne m'a rien fait, fade, sans effet... Bref un gros méga BOF!
Peut être Paul Merault fera mieux dans ses futurs écrits, en tout cas je l'espère pour lui!
Londres, le policier James est retrouvé assassiné et mutilé
Marseille, le commissaire Martinez est retrouvé assassiné et sa mort mise en scène au sein même de l'hôtel de police plus connu sous le nom de l'Evêché.
Le superintendant Perkins de Scotland Yard et le commissaire Caradec de la police judiciaire vont donc chercher à comprendre les raisons de ces meurtres avant de constater que les deux morts ont la même signature. Qui donc peut vouloir tuer des policiers à autant de distance ? Et comment vont ils pouvoir trouver ce qui les relie.
Ce roman se lit aisément et le fait de changer régulièrement de lieux n'est pas un problème pour la compréhension de l'histoire. Néanmoins l'histoire reste assez convenu et les personnages manquent un peu de consistance, car on dérive vite dans le cliché. Par moment il y a des choses trop évidentes, ce qui gâche un peu le suspense.
La résolution de l'enquête m'a donné l'impression d'être bâclée pas assez fouillée pour ne pas dire non crédible.
Néanmoins, cela pourrait être une bonne base pour une série TV
Par ailleurs, je tiens à remercier le cercle livresque et aux éditions Fayard pour l'envoi de cet ouvrage
Chronique Nathalie Bullat 16/04/2019 (Je remercie Orangelecteurs pour m'avoir adressé ce roman .)
L'introduction est lancée à pleine vitesse. Deux policiers sont assassinés, l'un à Londres, l'autre à Marseille, le point commun des victimes : la présence d’un tatouage, posé sur leur langue: curieux symbole cabalistique représentant une bougie sur une table.
Perkins et Caradec, les deux policiers respectifs en menant leur enquête vont plonger dans un douloureux et lointain chapitre de notre histoire en analysant l'origine de ce tatouage. Un lien existe-t-il vraiment avec le terrible drame qu' a subit un village du Lubéron au XVIe siècle et ces sordides assassinats ? l’intrigue en elle-même est intéressante.
Mais si le roman est bien écrit et richement documenté, cela manque de rage, de vraie douleur...l 'auteur ne fait qu'effleurer l'angoisse des protagonistes,comme Perkins et la journaliste quand ils sont dans des moments très difficiles . Cela manque tout simplement de passion ! En fait c'est une vraie analyse policière , on sent que l'auteur connait bien ce milieu, mais ce n'est pas un thriller . A aucun moment j'ai ressenti une quelconque frayeur ou inquiétude pour les personnages. Dommage cela aurait pu être passionnant ,mais c'est un premier roman, le second sera plus approfondi !Allez amis lecteurs je vous laisse découvrir qui sont ces "impunis " !!!
Lorsque qu’une inspectrice de Scottland Yard enquête à Marseille, avec un commissaire du 36, le polar promet d’être passionnant.
Le sujet l’est d’ailleurs ; original et basé sur des faits historiques oubliés, il ne demandait qu’à s’épanouir sur les pages d'un récit.
Mais l’enquête est écrite comme un rapport de gendarmerie, sans volume et sans émotion, et c’est bien dommage. On passe d’un lieu à l’autre, sans même s’en rendre compte, d’une scène terrifiante à une réunion de police, sans changement d’humeur, et les pages filent sans que l’on parvienne à s’y intéresser.
On sent que l’auteur Paul Merault, connaît bien les procédures de police et qu’il a des choses à dire sur ce sujet des sectes et de leurs nombreuses ramifications, mais il gère d’une même façon monocorde les différents espaces et époques et les sentiments des personnages sont à peine survolés, seules leurs interactions rythment la trame de ce récit. On n’est touché ni par la méchanceté des tueurs, ni par la souffrance des victimes, ni par la perspicacité des policiers, tous ces personnages étant plats et assez irréalistes.
Un polar qui ne m’a pas accrochée et que j’ai lu et oublierai en un rien de temps.
Merci à lecteurs.com pour ce livre lu dans le cadre de l'opération Explorateurs du Polar.
L’avis de Sandrine :
L'action se situe à Londres et également à Marseille, courant 2018.
Les premières pages nous amènent sur une scène de crime à Brixton, en Angleterre .
Les descriptions courtes donnent un rythme rapide à la scène.
Perkins, policier britannique imposant et Caradec, également gardien de la paix, mais sur Marseille, mènent deux enquêtes parallèles qui finalement, vont se recouper .
Le tueur ne leur laisse pas de répit.
Un dernier personnage se trouve au cœur de l'intrigue : Patterson, un ex serial killer.
Amis lecteurs, j’ai été embarquée dans cette enquête policière dès les toutes premières pages.
Le suspense va crescendo. Les chapitres extrêmement courts donnent un rythme soutenu à ce roman noir. Il n'y a aucun temps mort .
Scènes d'autopsie à vous couper le souffle, on s'y croirait presque .
Quelques termes anglais nous mettent dans l'ambiance .
Des jeux de mots ponctuent l'ambiance glauque et sombre du roman .
L’écrivain nous fait passer d’un enquêteur à l’autre en alternance, en Angleterre et en France.
S'agirait-il d'un copycat ?
Les personnages se croisent au cœur de deux histoires meurtrières.
Quel est le mobile du ou des tueurs ? Qui a tué les deux policiers ? Ce sont autant de questions qui restent en suspens.
Tatouage, Histoire, vengeance, cartel de drogue, groupe violent, sont autant de pistes qui permettent à Caradec et à Perkins de filer le tueur .
Certains protagonistes ne se connaissent pas , tout est dévoilé dans les dernières pages.
Puis le roman se termine en apothéose et nous laisse démuni, face à une telle folie meurtrière .
Je vous souhaite une agréable lecture, et je vous invite à découvrir sans plus attendre cet écrivain au talent fou. Une exploratrice qui a littéralement dévoré les 326 pages !
Si vous deviez le conseiller ?
Vous aimez le suspense, les enquêtes, les policiers ? Alors ce polar est pour vous !
© Sandrine Gouaillardou
Ayant beaucoup aimé le prix du quai des orfèvres 2018 dont je garde un excellent souvenir ; c'est tout naturellement que je me suis offert le prix du quai des orfèvres 2019 : le cercle des impunis de Paul Merault.
Des brumes de Londres au soleil éclatant de Marseille, des policiers sont assassinés dans la plus sordide des mises en scène, avec un même symbole tatoué sur la langue.
Scotland Yard et la police française s'allient pour remonter la piste de ces vengeances diaboliques.
Des deux côtés de la Manche, les meilleurs enquêteurs associent leurs méthodes pour traquer celui qui les humilie en s'attaquant aux plus grands flics.
Quelle folie humaine peut réussir à « opérer » avec une telle expertise chirurgicale ?
Le cercle des impunis est un roman policier intéressant toutefois je dois avouer que je n'ai pas été totalement convaincue par ma lecture.
J'ai apprécié que ça se déroule entre Londres et Marseille. Les personnages sont intéressants, je ne me suis pas réellement attaché à eux mais cela ne m'a pas dérangé.
L'histoire est plutôt bien ficelée, et au début j'ai pris plaisir à dévorer ce roman. Malheureusement, au bout du premier tiers je trouve que ça s'essouffle et j'ai eu à plusieurs reprises une impression de déjà lu.
J'ai déjà lu des policiers se déroulant entre deux pays, avec une histoire de vengeance datant de plusieurs siècles.
Le cercle des impunis est un roman assez classique, il n'y a pas de réelles surprises. J'ai trouvé ça décevant. Avoir avoir dévoré le début, j'ai peiné à le terminer et en plus je n'ai pas été peu convaincue par le dénouement.
Quel dommage, mais j'en attendais peut-être trop, je ne sais pas.
Ma note : 3 étoiles
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