Jetant un regard ironique sur la «comédie humaine» de son temps, un critique culturel parisien à la trentaine désabusée nous dévoile son morne ennui, ses errances dans les rues de Paris, ses renoncements, ses lâchetés... Quarante-huit heures pour un pitoyable constat sur une époque qui ne semble plus rien avoir à dire... à moins que, si l'amour... Vivre, c'est manger, boire, dormir, se divertir, accessoirement penser ; mais être un homme, n'est-ce pas d'abord aimer ? «Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer». L'adage de Figaro pourrait fort bien résumer la démarche de Laurent van De Wandel, né en 1970, agrégé et ancien élève de classe préparatoire littéraire dont il a gardé le goût pour la culture classique.
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