"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
J'ai choisi la liberté, l'ouvrage du dissident soviétique V. A. Kravtchenko, paraît en France en 1947 avec le même immense succès que dans le reste du monde occidental. Peu de temps après, l'hebdomadaire procommuniste Les Lettres françaises publie un article accusant Kravtchenko de ne pas en être le véritable auteur et d'avoir été piloté par les services secrets américains. L'intéressé porte plainte immédiatement pour diffamation.
Quand s'ouvre le procès, le 24 janvier 1949, il apparaît tout de suite qu'il va tourner au procès du régime soviétique et que la question de fond qui est posée là est celle de l'existence de camps de concentration en URSS, d'où de violents débats et des dépositions passionnantes, auxquels assistait pour un journal de l'émigration russe la jeune Nina Berberova. Son témoignage brille par la rigueur du compte rendu, l'acuité du regard et l'effi cacité du style.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !