80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
L'affaire semblait résolue.
Pourtant, des contradictions subsistent :
Pourquoi Peter Johnson, cet ancien plombier devenu millionnaire, aurait-il risqué sa vie de château pour voler le bracelet d'une jeune mère de famille ?
Pourquoi aurait-il utilisé un silencieux pour la dépouiller ?
Pourquoi l'aurait-il tuée ?
Son procès est imminent et les preuves demeurent indiscutables.
Pour comprendre ce meurtre : trois détectives privés.
Le très pimenté Duncan O'Connor, accompagné de ses deux employés : Blake White, le caméléon, et Warren Curtis, l'analyste.
Comme le répète souvent O'Connor : Personne n'agit par hasard.
Alors, qui joue avec la réalité ?
Mensonges, rebondissements, infidélités et secrets, s'amuseront avec les nerfs des enquêteurs, et bien plus encore...
Venez plonger dans ce premier volet de la saga : Les enquêtes de O'Connor, et tentez vous aussi, de résoudre ce puzzle !
Un indice : l'intuition est un leurre.
Commençons par ce que j'ai aimé : l'enquête du détective privé qui va de rebondissements en rebondissements ; les deux jeunes acolytes dont l'un est un taiseux ; les rues de New York ; le suspens.
Ce que j'ai moins aimé : les dialogues trop nerveux, comme si les personnages avaient bu trop de café et étaient sur des charbons ardents, prêt à s'empoigner plutôt que de discuter.
Les dialogues, encore, pas toujours faciles à suivre : qui parle ?
Les réflexions à l'emporte-pièce : depuis qu'un crime a été puni, les méchants réfléchissent. Mouais.
Un roman plein de colères inexprimés qui m'ont gênés.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année