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Où peut vous mener un souvenir d'enfance ! Lors d'une sortie familiale avec Cécile et les enfants, Adèle et Thomas, Raoul Signoret se casse les dents sur une double énigme. Les grottes Loubière, sur les hauteurs de Marseille, près du village de Château-Gombert, abritent des trésors géologiques ; mais l'entrée en est condamnée depuis des années, après la découverte du cadavre profané d'une fillette.
Si les grottes sont murées, comment se peut-il que le ciment soit encore frais ? Qui a pénétré récemment dans la caverne interdite ? Et pour quelle raison a-t-on voulu dissimuler les traces d'effraction ?
Raoul n'entend pas en rester là. Mais la découverte promet d'être macabre. Derrière le mur gisent les corps de deux enfants. Lorsque l'ivrogne Delclos, oncle de la fillette assassinée voici onze ans, se pend après s'être accusé du double meurtre, le mystère s'épaissit.
Toujours aidé de son oncle, Eugène Baruteau, commissaire central, et grâce à la perspicacité de Cécile, Raoul Signoret va remonter la piste d'un sordide trafic d'enfants qui va le conduire jusque devant les grilles d'une riche propriété au coeur du massif de l'Étoile. Il se passe d'étranges choses derrière les hauts murs de La Soubeyranne : des taureaux luttent à mort contre des tigres, des enfants disparaissent, et, pour mettre fin à leurs souffrances, certaines femmes sont prêtes à commettre l'impensable.
Après un premier chapitre très corrida dans tous les sens du terme, ce douzième mystère de Marseille débute par la découverte de deux cadavres d'enfant dans une grotte qui est déjà une scène de crime fermée depuis la mort d'une fillette quelques années plus tôt.
Comme souvent l'enquête prend son temps. Elle débouche cette fois sur une affaire plus sombre et plus sordide que dans les épisodes précédents avec de tristes personnages sans scrupules, le dénouement final s‘avérant relativement inattendu.
Mais l'intérêt n'est pas que dans l'intrigue et on retrouve avec plaisir les personnages de Jean CONTRUCCI, le journaliste Raoul SIGNORET et toute sa petite famille et surtout Eugène BARUTEAU, oncle de Raoul et commissaire central de la police marseillaise, imposant personnage haut en couleur dont la perspicacité n'a d'égal que son féroce appétit.
Comme dans les autres opus de la série l'auteur fait revivre pour notre plus grand plaisir le Marseille du début des année 1900 et ses environs, utilisant les noms de rues de l'époque, décrivant de façon imagée des commerces et des industries d'un autre temps pour chaque quartier où se déroule l'intrigue. Il émaille son récit de faits historiques ayant enrichi la vie marseillaise, utilise un langage parsemé d'expressions marseillaises où l'humour a toute sa place et nous enchante avec les magnifiques paysages servant notamment de cadre aux traditionnels repas de la famille BARUTEAU, avec du soleil et des senteurs pour le plaisir de nos sens.
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