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« Je suis mort à sept heures du matin. Il est huit heures vingt-huit sur l'écran du radio-réveil, et personne ne s'en est encore rendu compte. » Ainsi commence l'aventure de Jacques Lormeau, trente-quatre ans, quincaillier à Aix-les-Bains. Comment parviendra-t-il à se faire entendre, à se glisser dans les pensées de la femme qu'il aime, dans les rêves de son fils ? Comment échappera-t-il à ceux qui le retiennent avec leurs mesquineries, leurs rancunes, leurs fantasmes ? Sur quoi débouche la mort ?
Le romancier d'Un aller simple, prix Goncourt 1994, nous entraîne, au fil d'un suspense mêlant l'humour et l'émotion, dans le fascinant voyage qui - peut-être - nous attend tous.
Jacques vient de mourir. Il se voit et "vit" auprès de tous ceux qui l'ont accompagné de son vivant : sa femme, son fils, son père, sona mante, ses amis, clients et voisins. On apprend ainsi qui il était : patron d'une quicaillerie, peu passionné par son métier et laissant sa femme prendre en charge les affaires. Ils se sont aimés mais elle lui avait fermé sa porte et il n'avait rien trouvé de mieux que de s'écarter la plupart du temps dans une caravane pour peindre et recevoir une jeune amante.
C'est décrit avec beaucoup d'humour et on suit Jacques avec plaisir quand il apprend son nouveau rôle en tentant d'intervenir pour protéger les siens. Une lecture agréable et originale.
Jacques vient de mourir. Il se voit et "vit" auprès de tous ceux qui l'ont accompagné de son vivant : sa femme, son fils, son père, sona mante, ses amis, clients et voisins. On apprend ainsi qui il était : patron d'une quicaillerie, peu passionné par son métier et laissant sa femme prendre en charge les affaires. Ils se sont aimés mais elle lui avait fermé sa porte et il n'avait rien trouvé de mieux que de s'écarter la plupart du temps dans une caravane pour peindre et recevoir une jeune amante.
C'est décrit avec beaucoup d'humour et on suit Jacques avec plaisir quand il apprend son nouveau rôle en tentant d'intervenir pour protéger les siens. Une lecture agréable et originale.
J'ai eu envie de lire ce livre parce que j'avais vu l'auteur lire les premières pages ... Je n'ai pas été déçue parce que c'est plein d'imagination, drôle et émouvant à la fois. J'ai beaucoup aimé l'idée que la vie se termine comme ça !
vivre à 32 ans sa mort, assister à la réaction de ses proches, découvrir alors chez eux des côtés inconnus. ça m'a laissé sur ma faim
Bon roman, original et agréable à lire, beaucoup d'imagination
Une autre façon de voir la vie après la mort. Agréable à lire, jamais scabreux
un livre qui m'a encore fait decouvrir un auteur à la plume qui vous transporte dans un autre univers
J'aime ce livre qui nous offre un regard sur la vie après la mort. Sans jamais tombé dans le cliché, l'auteur nous fait rire et parfois pleurer, devant la beauté du récit de son personnage. Que de bons moments, la mort nous semblerait presque belle, si elle n'était définitive. On ressent beaucoup la solitude et la souffrance du personnage à la longue. Un véritable coup de maitre pour cet auteur.
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