Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Non, la retraite ce n´est pas le début de la fin ! Au contraire c´est le début d´une vie enfin libre. Elle est dans le mouvement, l´action, la plénitude. L´occasion rêvée de réaliser des projets longtemps différés, d´être créatif et citoyen.
La Vie commence à soixante ans est une invitation à suivre le chemin du temps retrouvé, pour soi, et pour les autres.
Ce titre à la fois provocateur et optimiste m’a intriguée, séduite. J’ai ouvert le livre dans l’espoir d’y y trouver un hymne à la vie. Je n’ai pas été déçue.
Bernard Ollivier nous raconte sa déprime au moment du départ à la retraite, et il nous dit comment il a pu rebondir en faisant des projets, en marchant, en rencontrant, en aidant.
Dix ans plus tard, il se retourne pour un premier bilan. Il ne présente pas ce qu’il a fait comme un modèle à suivre, il parle de lui, de là où il est, des solutions qu’il a trouvées pour donner un sens à sa vie, des solutions qui lui sont personnelles. Mais il nous livre un beau témoignage qui donne en vie de se mettre… en marche.
Quel bel humanisme!
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