Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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Eva Bnamé nous livre ici un magnifique roman, émouvant, touchant, avec des personnages particulièrement attachants.
Certains diront sans doute qu'il est pavé de bons sentiments. C'est vrai, mais c'est précisément ce qui m'a plu. Dans la production "littéraire" actuelle plus que déprimante, je l'ai adoré suivre ces destins croisés de Louis et Esteban, découvrir les bonnes étoiles qui ont orienté leur vie.
Je recommande vivement à tous ceux qui ont envie de passer un beau moment de lecture.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Lectures d'Annie Ernaux à petites doses tant je suis mal à l'aise avec l'écriture "plate " blanche" qui dessèche, me semble-t-il, la réalité qu'elle souhaite faire vivre .. pour elle-même comme elle le proclame et non pour un lecteur.
Gêne devant cette incapacité à sortir d"une situation bien moins désespérante que celle des héros de NDiaye (cf. son magnifique roman Rosie Carpe). Déchirée par la pauvreté de l'enfance ? Didier Eribon dans "Retour à Reims" évoque l'abime sociale et culturelle qui le sépare des "siens". La fragilité sèche d'A. Ernaux choisit la pauvreté jusque dans la langue sans nous convaincre, trahissant à la fois des milieux populaires pouvant faire preuve de tant de créativité, et ceux à qui, comme Racine, il a suffi de 600 mots pour construire un théâtre des êtres humains d'une autre dimension