"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Depuis son divorce, Justine court après la vie dans un Paris qu'elle ne reconnaît plus. Tout se chevauche et se bouscule : son travail en perdition, ses amours inexistantes, ses inquiétudes de mère. Ses seuls moments de répit, elle les trouve à Nanteuil, le village de son enfance.
Un jour, elle découvre une rose fraîche sur la tombe de son père. Qui peut bien l'y avoir déposée ?
En essayant d'élucider cette énigme, Justine va découvrir des secrets de famille insoupçonnés, et trouvera au passage le courage de reprendre son existence en main.
Une belle histoire de famille, d'amours et d'amitiés, et surtout d'espoir.
Justine est une jeune femme divorcée qui élève seule sa fille et pour qui le travail devient de plus en plus difficile. Sa société vit une crise et tous les employés sont sous pression.
Elle ne se sent bien que le week end quand elle retourne auprès d'une de ses amies d'enfance dans son village natal où est enterré son père mort alors qu'elle n'était encore qu'une gamine.
Quelle n'est pas sa surprise quand elle découvre sur la tombe de son père une rose rouge toute fraiche.
Qui a pu venir dans ce cimetière presqu'à l'abandon ?
Elle se pose beaucoup de questions, va interroger le gardien du cimetière, sa soeur avec qui elle est plus ou moins fâchée.
Elle va sans le vouloir remuer beaucoup de secrets, de chagrin .............
Un bon premier roman où se mêlent amour, amitié et espoir.
Laissez courir !
La Solitude des Femmes qui Courent est-elle vraiment supérieure à celle de l’homme immobile, juré du prix des lecteurs du Livre de Poche ? Je sais bien que soixante-dix pour cent des lecteurs sont des lectrices et que le « feel good » se vend bien. Reste à savoir s’il se lit aussi bien et si la belle-mère, à qui on l’a offert, en garde un souvenir impérissable et une éternelle reconnaissance. Dans le cas précis qui vient de m’occuper, j’ai beaucoup de mal à comprendre comment une lectrice pourrait se sentir mieux en lisant ce livre. Scénario convenu et stéréotypé, dialogues invraisemblables, platitude de l’écriture, je crains même l’effet inverse. Il y a bien mieux à lire, même sur la plage !
"La solitude des femmes qui courent" est un roman beaucoup trop léger, facile à lire, avec beaucoup de stéréotype, d'apriori. Un livre "plage" pour l'été si vous souhaitez lire un petit "feel-good" sans vous prendre la tête.
Malheureusement, je n'ai pas réussi à accrocher a cette histoire, au personnage principale de Justine, beaucoup trop surfait à mon gout ; à toutes ces mères célibataires entre travail, enfants et vie privée.
"La solitude des femmes qui courent" de Julie Printzac est certes une histoire très bien menée, mais les dialogues sont faux, prévisible, et parfois sans intérêt.
Ce fut une déception !
Livre lu en tant que membre du jury du prix des lecteurs livre de poche 2018.
histoire de filles, seules, divorcées, veuves qui vivent leurs vies entre leur travail et leurs enfants. Travail épuisant, enfants prenants, dans tout ce chaos, il faut trouver le temps de vivre pour soi. un jour l'héroine se pose des questions sur ce père qu'elle a très peu connu...
Un livre attachant, rythmé, qui nous balade entre Paris et la campagne Poitevine. Facile à lire, bien écrit, on se prend d'amitié pour ces femmes en quête de bonheur.
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