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Au XVIIIe siècle, ne prend pas la plume qui veut. Si Ph. Lejeune définit «le pacte autobiographique» dans son livre éponyme (1975) comme «un récit rétrospectif en prose qu'une personne réelle fait de sa propre existence», le présent ouvrage veut apporter des nuances à l'égard de la notion de «pacte». La manifestation de la parole du «moi» semble en premier lieu liée à un code de bienséance qu'on a appelé «tabou». L'assomption de base de ce livre est que l'âge (pré)moderne en France a moins connu un «pacte» autobiographique qu'un «tabou» autobiographique. Un pacte se négocie sur l'arrière-fond d'un tabou par le biais de stratégies discursives, censées conférer à l'homme de lettres la légitimité et l'autorité dont il a besoin pour faire passer son texte de ce que Jürgen Habermas appelle «la scène privée» à «la scène publique». Ainsi, prendre la parole, c'est créer immanquablement autour de soi une scène d'énonciation où un ethos apparaît.
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