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L'auteur veut mettre son ouvrage à la disposition de tous les penseurs africains et non pas seulement des philosophes. C'est en ces termes qu'il justifie la publication d'un texte par lequel il contribue à ce qu'ils sont de plus en plus nombreux à appeler «la problématique de la philosophie en Afrique». Et l'originalité, c'est précisément d'avoir opté pour la «phénoménologie» d'une question, au moment même où l'on pourrait croire soit qu'une réponse en a déjà été donnée, soit qu'il est plus urgent d'y répondre. Mais ce que l'on croit perdre d'une main - la philosophie - on le récupère amplement de l'autre! Car, une fois le «questionneur» supposé de bonne foi, ou tout au moins de bonne volonté, le «questionné», lui, est un philosophe africain de formation européenne occidentale dont les attitudes possibles, face à la question posée, servent d'armature à toute la phénoménologie, et, à qui l'auteur suggère de consentir à n'être peut-être qu'un «penseur africain», mais de veiller à l'être pleinement.
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