80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Elle chemine chaque jour entre la campagne et la ville, se transmet sur le banc du village ou sur celui du métro citadin ; elle se dit du pas de porte que nos venons de franchir, au palier de l'appartement, par dessus la haie et derrière le muret. Elle est dehors, dans la parole en choeur d'une fête, au café et à l'intérieur de nos maisons... Quittons cette fois les sentiers battus du conte merveilleux, du mythe, de la légende afin de mettre en valeur d'autres types de paroles, celles de l'instant qui, clamées ou chuchotées, investissent de leur écho le quotidien de chacun ; celle dont on parle peu et parfois avec des nuances dépréciatives, de manque... Au sommaire. Ainsi parlent les femmes : M.-C. Taranger, «La Deuxième Guerre mondiale : récits de femmes» ; P. Gay-Para, «De ta bouche aux portes du ciel» ; M. Valière, «L'aiguillée d'aphorismes des ajoureuses anglaises» ; Voix de villes : M. Chiche, «Arsène Lupin, pas mort» ; F. Reumaux, «L'aventure du héros de l'ombre» ; L. Lehrhaupt, «"Step into my world" : the allure of the doll house» ; À l'écoute des marginaux : M. Xanthakou, «Madame Berlina : l'"idiot" et le jeu du discours indirect» ; B. Koumare, Y. Jaffre et J.-P. Coudray, «Fato Kuma» ; J. Derive, «Une paillardise rituelle : les chants des captifs dioula» ; J. Dournes, «L'instituteur et le guerrier» ; Le récit est un autre : J. Demers et L. Gauvin, «Le conte-sornette ou le mensonge du récit» ; K. Young, «Joint storytelling» ; Bruits blancs : L. Gaborit, «Silences».
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