"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
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Aux Etats-Unis dans les années 1920, la plupart des tribus indiennes ont été décimées ou parquées dans des réserves dans lesquelles elles s’éteignent lentement. Une exception toutefois, les Osages. Un territoire leur a été donné en Oklahoma. Or, il se trouve que ce terrain est un réservoir à pétrole. Les Osages, qui profitent de ces gisements, sont donc devenus riches. Mais bientôt des morts suspectes surviennent : exécution, explosion, empoissonnement... Les meurtres se multiplient. Qui est responsable ? Dans quel but ?
L’enquête menée par la police locale piétine, les résultats se font attendre et la psychose s’installe au sein de la tribu. Les investigations vont alors être confiées aux équipes d’une certain Edgar J. Hoover et à ce qui s’annonce comme les prémices du FBI.
Alerte chef-d'œuvre ! Oui, n’ayons pas peur des mots, nous sommes ici en présence d’un bijou. Ce livre, que les Editions Globe ont réédité dans une version de luxe au mois d’octobre pour accompagner la sortie du film de Martin Scorsese, est tout simplement addictif.
David Grann a mené une enquête colossale pour retracer cette période noire de l’histoire américaine et nous emmener au cœur des investigations autour de ces crimes. Il a regroupé une somme astronomique de documents, d’archives et de témoignages (le récapitulatif des sources en fin de volume ne fait pas moins de 25 pages !).
L’ensemble se lit comme un polar, avec des rebondissements, des fausses-pistes, des secrets. Au centre du récit, une famille Osage dont tous les membres sont victimes de meurtres et dont il reste une survivante, Mollie et un enquêteur investi dans sa mission, Tom White appartenant au BOI (Bureau of Investigation), ancêtre du FBI.
C’est passionnant par ce que cela raconte de l’histoire des Etats-Unis et des populations indiennes victimes des pionniers et de l’Etat Américain. Par l’ampleur de la machination révoltante qui a finalement été révélée après des années d’entêtement des familles et des équipes de Tom White. Mais c'est aussi une mine d’informations sur la naissance de nouvelles façons d’enquêter et sur ce personnage quasi légendaire qu’est devenu Hoover, directeur du FBI pendant trente-sept ans et sur sa volonté de toute puissance dont on peut voir les débuts ici.
La dernière partie du récit nous emmène à la rencontre des descendants des victimes du terrible complot qui eut lieu presque 100 ans plus tôt. Une occasion pour David Grann d’explorer les traces que ces évènements ont laissé chez ces arrière-petits-enfants. L’amertume, la méfiance voire parfois la colère qui continue de les habiter. Il était indispensable d’avoir cette conclusion qui nous ramène à notre monde contemporain et qui montre que l’Amérique n’en a pas fini avec ses fantômes et son passé.
A lire absolument, en version de luxe ou pas !
« La note américaine » («Killers of the flower moon » en version originale, que je préfère car plus poétique) de M. David Grann est un chef-d'œuvre captivant qui nous plonge dans l'Oklahoma des années 1920 et dans le Règne de la terreur, tragique épisode de l’histoire étatsunienne où des Indiens Osages meurent par dizaine. Et tout est vrai dans cette palpitante enquête, basée sur une solide documentation.
De plus, les personnages sont extraordinaires. A commencer Mollie Burkhart, la riche indienne Osage, et son mari Ernest. Le lecteur est de suite immergé dans un univers où la richesse pétrolière attire la convoitise de criminels sans scrupules, comme l’ambigu et redoutable William Hale. La présence de Tom White, enquêteur du tout récent FBI dirigé par Hoover, apporte une dimension fascinante à l'intrigue. La scène à la fin du récit, dans un pénitencier du Kansas, où Hale fait face à White est une pure merveille. Et ce n’est qu’un exemple parmi une multitude de passages marquants et superbement bien racontés par la plume efficace et précise de M. Grann (il y a tant à dire aussi sur le couple Mollie/Ernest). J’ai plus que hâte de découvrir dans les salles obscures ce que le maître Scorsese nous offrira, d’autant qu’il a réuni un casting de rêve pour mettre en image ce livre saisissant. Je n’en dirai pas plus pour ne pas divulgâcher.
Pour conclure, ce roman-enquête, mêlant violence, brutalité et espoirs de progrès contrariés, offre une peinture saisissante de l'Amérique et constitue une lecture incontournable pour comprendre les USA de l'époque (et même de maintenant). L’on y voit un monde civilisé en germe sur une terre pleine de violence et de brutalité, où il ne fait pas bon être un riche Indien possesseur d’or noir. A ne surtout pas manquer !
Ce livre retrace l'enquête diligentée à la suite des nombreux meurtres d'indiens Osage dans les années 20 après qu'ils ont été "parqués" dans une réserve semi aride très inhospitalière dans l'Etat de l'Oklahoma et qui s'avérera être source de grande richesse puisque pétrolifère au grand dam des blancs.
Enquête qui va durer de longues années, non seulement en raison d'un manque d'intérêt évident de certains shérifs pour ces meurtres mais aussi une nette volonté à ne pas trop creuser ce type d'affaires. Enquête qui sera reprise par le FBI, où le nouveau directeur John Edgar Hoover va mettre en place de nouvelles méthodes d'investigation. Et avec la ténacité de l'agent Tom White, texan, qui tente par tous les moyens a sa disposition d'appréhender les meurtriers tout en travaillant sur des techniques scientifiques afin d'avoir des preuves irréfutables pour le tribunaux.
Ce livre est impressionnant par la quantité et la qualité de la documentation que l'auteur a accumulée. Il retrace l'évolution de l'enquête tout en nous expliquant l'histoire des USA et démontre que les indiens n'étaient pas forcément les plus belliqueux ni les plus sauvages. L'histoire des USA ne s'est pas fait sans discriminations, racisme, violence. Et nous explique que le pouvoir blanc n'a pas hésité à considérer, et ce jusqu'en 1931, les indiens comme citoyens de seconde zone au point de les mettre systématiquement sous la curatelle d'individus escrocs agissant en toute impunité puisque les autorités ont fermé casi systématiquement les yeux sur leurs agissements quand elle ne les confortait pas.
J'ai beaucoup aimé cet ouvrage qui est écrit à la façon d'un polar et qui m'a fait découvrir la conquête des USA sous un autre angle et qui me laisse perplexe quant à la nature de l'homme quand il y a des questions d'argent en jeu. De même, que ce sentiment d'impunité et de supériorité de l'homme blanc est toujours présent et qu'il est même revendiqué et accepté par les autorités. Et cela me désole.
https://quandsylit.over-blog.com/2021/09/la-note-americaine-david-grann.html
1921 Les guerres indiennes sont loin. Leurs survivants ont, pour la plupart, été parqués dans des réserves où ils végètent, misérables, abandonnés à leur sort.Une exception à cette règle : le peuple osage. Il s'est vu attribuer un territoire minéral aux confins de l'Oklahoma. Or ces rochers recouvrent le plus grand gisement de pétrole des États-Unis. Les Osages sont millionnaires, roulent en voitures de luxe, envoient leurs enfants dans les plus prestigieuses universités et se font servir par des domestiques blancs. Le monde à l'envers.Un jour, deux membres de la tribu disparaissent. Un corps est retrouvé, une balle dans la tête. Puis une femme meurt empoisonnée. Et une autre. Plus tard, une maison explose... la liste des morts va s’allonger et la justice (des hommes blancs) totalement corrompue, va mettre du temps à réagir.
Un enquête minutieuse, très bien documentée, qui relate le sort réservé à des indiens d'Amérique devenus riches... au XXe siècle !
Il a fallut ces meurtres pour libérer les tribus des curateurs (cupides) blancs qui géraient les fortunes des indiens (et oui, les osages étant des "sous-hommes" ils ne disposaient pas de leurs fortunes !).
Une enquête très détaillée mais parfois ont s'y perd un peu avec les chapitres qui présentent de nouveaux personnages qui entrent en scène !
J'imagine la patience et la quantité de documents consultés pour établir ce travail documentaire.
Une somme !
A signaler la sortie en 2020 d'un film relatant ces meurtres d'indiens. Réalisation : Martin Scorsese, avec Leonardo DiCaprio : Killers of the Flower Moon.
Ce livre se lit comme un roman policier mais malheureusement n’est pas une fiction. Il s’agit d’un travail d’enquête impressionnant mené sur des faits réels dévoilant un des épisodes criminels et des plus scandaleux de l’Histoire américaine, concernant la tribu indienne des Osages.
« Au début des années 1870, les Osages avaient été déplacés depuis leurs terres d’origine du Kansas vers une réserve d’Oklahoma, censée être de moindre valeur mais dont on découvrit par la suite qu’elle reposait sur le plus grand gisement pétrolifère des Etats-Unis. Pour y accéder, les chercheurs devaient louer les terres aux Osages et leur reverser des royalties. Au début des années 1900, chaque personne inscrite sur le rouleau de la tribu commença à recevoir un chèque trimestriel. Le montant initial ne s’élevait qu’à quelques dollars, mais, au fil du temps, alors que l’on extrayait de plus en plus de pétrole, les dividendes se comptèrent par centaines, puis par milliers de dollars. Le montant augmentait tous les ans (…) jusqu’à ce que les membres de la tribu aient à eux tous accumulé des millions de dollars. (Pour la seule année 1923, la tribu perçut plus de trente millions de dollars, soit l’équivalent de plus de quatre cents millions de dollars actuels.) »
Les ‘millionnaires rouges’ se faisaient construire des manoirs avec domestiques noirs ou mexicains (voire blancs), revêtaient diamants et fourrures, avaient des chauffeurs pour conduire leurs automobiles et leurs enfants ‘fréquentaient les meilleurs écoles d’Europe et portaient de somptueuses tenues françaises’.
Mais à partir de 1907, nombre d’entre eux disparurent mystérieusement et discrètement.
« Gray Horse était l’une des plus anciennes réserves amérindiennes. Ces avant-postes — dont Fairfax, qui ressemblait à une bourgade, avec ses 1500 habitants, et Pawhuska, la capitale osage, avec une population de 6000 âmes — avaient des allures de mirages. Les rues grouillaient de cow-boys, de chercheurs d’or, de contrebandiers, de voyants, de guérisseurs, de bandits, de marshals, d’hommes d’affaires venus de New-York et de magnat du pétrole. Des automobiles roulaient en trombe sur des sentiers tracés par le passage des chevaux et l’odeur du carburant l’emportait sur le parfum de la Prairies. (…) On y trouvait des cafés, des salles d’opéra et des terrains de polo. »
Attirés par la manne financière que représentait ce peuple, très vite la région fut envahie par aventuriers et gredins. On apprend que les Osages furent rapidement mis sous tutelle financière. Nombre d’entre eux se marièrent avec des Blancs ou des Blanches qui se révélèrent être de sombres escrocs (voire assassins) tout autant que les tuteurs.
Bref, grand nombre de la tribu trouva la mort dans des circonstances on ne peut plus suspectes : incendies, accidents de voiture, suicides maquillés, balle dans la tête, maladies soudaines, empoisonnement, etc., et les héritages tombaient dans l’escarcelle des Blancs. Pourtant le Bureau d’Investigation n’avait jamais pu prouver aucun meurtre et les affaires furent classées sans suite, ce depuis 1907.
C’est à partir de mai 1921 que cette industrie du crime s’organisa vraiment et dura 4 ans sous le terme de ‘Règne de la terreur’. Assassinats et empoisonnements vont se succéder à la chaîne sans coupables désignés et des Blancs vont s’installer en empochant très légalement l’héritage des riches squaws et de leurs familles. Devenir un ‘homme à squaw’ était devenu un job à part entière pour homme blanc afin de s’enrichir personnellement.
Les Osages effrayés et reclus trouvaient la mort dans des circonstances surprenantes et décidèrent de porter plainte suffisamment fort pour être enfin entendu par les hautes instances gouvernementales.
Le jeune John Edgar Hoover vient tout juste d'être placé à la tête du nouveau bureau nommé FBI et va se servir de cette affaire Osage comme tremplin à sa carrière. Il va nommer un fin limier, Tom White pour enquêter. Tom White et son équipe resserrée, réussira à accumuler des preuves et élucidera bon nombre de crimes. De grande justesse, il enverra des hommes de pouvoir apparemment intouchables en prison, dont un homme d’une perversité, d’une cruauté et d’un machiavélisme redoutable.
J.E. Hoover sautera sur l’occasion pour faire de cette affaire, une première victoire retentissante en son nom ce qui le maintiendra à son poste pendant plus de 50 ans à la direction du FBI. Tom White à qui aurait dû revenir les lauriers restera dans l’ombre et n’aura qu’une reconnaissance lointaine.
David Grann, journaliste, va replonger pas à pas dans l’enquête et au-delà de faire ressurgir des fantômes et réhabiliter l’inspecteur Tom White, il fera encore de nouvelles découvertes sur ce génocide organisé.
En 2015, un parc d’éoliennes a envahi les terres de la réserve sans contrepartie...
C’est un livre absolument passionnant écrit au rythme du galop à travers les plaines d’Oklahoma que le cinéaste Martin Scorsese va adapter à l’écran.
Dans les années 20, le peuple Osage, installé ou plutôt relégué par l’état américain cinquante ans auparavant dans un coin aride et reculé de l’Oklahoma, connaît une prospérité inattendue, lorsque du pétrole est trouvé sur leurs terres. Même s’ils ne l’exploitent pas eux-mêmes, une redevance leur est due sur chaque baril tiré du sol. Ils font construire de belles maisons, emploient parfois des domestiques blancs, achètent des voitures somptueuses…
Mais quelques décès pour le moins suspects attirent l’attention des autorités. Mollie Burkhart, une mère de famille Osage, voit ses frères et sœurs mourir tour à tour, et notamment, sa sœur Anna disparaît mystérieusement. Lorsque la police locale se révèle impuissante, des agents du tout nouveau Bureau of Investigation, qui deviendra plus tard le FBI, sont envoyés, certains s’infiltrent même parmi la population en tant que gardien de troupeaux, agent d’assurance ou chaman indien. De plus, de nouvelles techniques d’investigation sont exploitées par l’agent Tom White qui dirige l’enquête.
On retrouve dans ce livre, parmi une foule de personnages réels, l’inamovible John Edgar Hoover. David Grann évoque le créateur du FBI en 1924, qui prend très à cœur les meurtres des Osages, même s’il s’agit sans doute essentiellement de faire connaître le tout jeune Bureau et de montrer que ses agents sont capables de résoudre des affaires complexes, et d’utiliser des méthodes particulièrement innovantes.
La recherche passionnante menée par David Grann se dévore comme un roman noir, mais de nombreux documents et surtout des photos, permettent de ne pas oublier que tous les protagonistes ont vécu, ont eu une famille, des enfants, des amis, et que certains ont été assassinés de manière odieuse. Et non seulement, c’est la convoitise des autres qui les a conduits vers la mort, mais c’est une autre forme de cupidité qui a empêché les premières enquêtes d’être menées à bien.
Un formidable travail de documentation, mis en forme de manière parfaitement construite, sur un épisode méconnu de l’histoire des États-Unis : à lire, incontestablement.
https://lettresexpres.wordpress.com/2019/02/19/david-grann-la-note-americaine/
Ce n'est pas " la note américaine" mais "la facture " qui aurait dû servir de titre à ce roman. (La traduction du titre en effet n'est pas le reflet du texte initial)
On est dans l'histoire incroyable de ce peuple Osages qui,expatrié de ses terres , se retrouve dans une zone arride ,désertique et inexploitable mais ,ironie du sort ,ayant un sous sol regorgeant de pétrole! Et C'est là que tout se complique .
On est en 1920 et le peuple indien a déjà payé le lourd tribu de son histoire pourtant le sort s'acharne une fois de plus et plus sournoisement encore .
Au fin fond de l'Oklahoma des femmes ,des hommes disparaissent les uns après les autres de manière tellement flagrante que même la police fédérale ne peut plus fermer les yeux sur cette époque qui sera appelée "le règne de la terreur " .
Dans cette "reconstitution " minutieuse et complètement basée sur des faits réels David Grann nous montre la complexité de la loi entre états et la pugnacité de quelques hommes ayant un sens du devoir plus que remarquable . Le style est certes un peu journalistique et factuel cependant représentant la froideur d'une réalité morbide et il faudra bien des années d'acharnement pour qu'aboutisse la mise en oeuvre d'une enquête .Tout au long de la lecture je me suis dis que ça ferait un film passionnant . Hasard de mes intuitions je sais maintenant que Martin Scorcese a acheter les droits de ce roman et qu'il commence à tourner cet automne. !!!
Je pense sans détour que ce film sera magnifique et qu'il rendra hommage à ces femmes et ces hommes qui ont largement payé la "mauvaise idée " qu'ils ont eu de devenir riches et surtout que cette histoire prouvera une fois de plus le pétrole n'est pas fait que d'or noir mais bien plus souvent de rouge sang .
La véritable histoire des meurtres amérindiens à l’origine du FBI.
Tout comme les recherches sur les explorateurs qu’il nous livrait dans « Lost city of z », David Grann a effectué un sacré travail d’investigation sur le triste sort réservé à ces indiens, les Osages, chassés de leur terre et parqués dans un endroit considéré comme sans intérêt par les américains qui s’en mordront les doigts après coup vu que celui-ci regorgeait de pétrole !
Les Osages deviennent millionnaires mais les américains ont plus d’un tour dans leur sac ! En les jugeant inaptes à gérer leur fortune, ils les placent sous tutelle (d'américains bien blancs bien sûr !) ou bien épousent les femmes pour mieux éliminer tout le monde après et empocher leur argent !
C’est un peu plus de 600 indiens Osages qui mourront assassinés sur la période de 1907 à 1923 qui sera appelée « le règne de la terreur ».
En effet, ce n’est pas peu dire car cette affaire causera aussi la mort de nombreux enquêteurs à cause de l’écoeurante corruption du système judiciaire de l’époque que nous décrit parfaitement l’auteur. Elle sera à l’origine de la création du FBI, avec Hoover à sa tête, qui parviendra en partie à arrêter le massacre et à mettre sous les verrous certains des commanditaires.
La plupart des Osages a perdu un ou plusieurs membres de leur famille, de nos jours encore ils en restent traumatisés et pour beaucoup le doute persiste quant aux criminels. Nombre d’entre eux continuent dans l’ombre à mener l’enquête…
Même si personnellement je l’ai trouvé un peu long et peut-être trop détaillé, un livre intéressant sur ce dramatique pan de l’histoire américaine dont je n’avais jamais entendu parler.
(Pour info : bientôt adapté au cinéma par Martin Scorsese).
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