Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
" Avec Marthe, la négresse muette, nous succombons à la tentation de nous égarer voluptueusement dans d'étranges labyrinthes, hantés de masques et de miroirs, riches de réduits obscurs et redoutables...
Mais qui est Marthe ? La machinerie des songes nous l'apprend : "Dans la dernière chambre, appelée Cabinet suprême, assise nue au sommet d'une pyramide d'acier recouverte de fourrures, Marthe se caresse sans fin" " (Yvonne Caroutch, Dictionnaire des oeuvres érotiques). Et Mandiargues, dans le Troisième belvédère : " Michel Bernard, dont le meilleur ouvrage est assurément La Négresse muette. " Fait singulier, et qui lui a plutôt nui : publié au plus mauvais moment de l'année 1968, La Négresse muette ne fit l'objet d'aucune interdiction.
Simplement, on l'oublia. Voilà un injustifiable oubli enfin réparé, un des chefs-d'oeuvre de l'imaginaire érotique restitué.
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