"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La morale est de plus en plus souvent évoquée dans la conduite des relations internationales. Les États sont mis en cause dans leurs pratiques respectives pour n'en pas tenir suffisamment compte et sacrifier les principes universels à des intérêts stratégiques commerciaux, économiques, géopolitiques, bref, égoïstes. Mais pourtant, la plupart des gouvernements se réclament de principes moraux pour justifier leurs actions.Les exemples ne manquent pas : mise en place d'une Cour pénale internationale, adoption de conventions contre la corruption, diffusion de l'idée de redistribution mondiale, développement de la thématique du commerce équitable, ou encore expression d'une compassion universelle autour du Tsunami...Assiste-t-on à une moralisation des relations internationales ? Comment l'expliquer ? Quels rôles détiennent les différents acteurs privés ou publics dans cette évolution ? La Realpolitik cède-t-elle ainsi le pas au respect de l'éthique ? La Realpolitik est-elle forcément immorale ? Les États seraient-ils devenus moraux ou bien s'agit-il de leur part d'une stratégie de communication pour masquer des politiques de puissance ? Qu'en est-il de la manipulation de l'information par les États, en vue de faire coïncider leurs intérêts à cet impératif moral ?
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !