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La Marianne voilée

Couverture du livre « La Marianne voilée » de Desire Kraffa aux éditions Editions Du Net
Résumé:

En parlant de la femme voilée, on fait référence à l'Islam. Les deux vont de pair et cela prend tout son sens spirituel. Les femmes se voilent pour Dieu. Pour le comprendre il faut se référer aux versets du Coran. Le voile de nos jours en France, c'est un sujet tabou. Son interdiction dans les... Voir plus

En parlant de la femme voilée, on fait référence à l'Islam. Les deux vont de pair et cela prend tout son sens spirituel. Les femmes se voilent pour Dieu. Pour le comprendre il faut se référer aux versets du Coran. Le voile de nos jours en France, c'est un sujet tabou. Son interdiction dans les lieux publics est la conséquence de nombreux préjugés qui entoure le port du voile. Votée en 2010, la loi interdit de revêtir en public une tenue dissimulant le visage. Le port du voile en tant que signe religieux n'est interdit qu'au sein de l'école. Début octobre, l'Opéra de Paris a demandé à une spectatrice qui arborait un voile clair sur la bouche et le nez de quitter les lieux en pleine représentation. Cette première a poussé le ministère de la Culture à préparer une note rappelant les dispositions prévues par la loi de 2010 interdisant le voile intégral dans les lieux publics. Il est interdit de « dissimuler son visage » dans l'espace public.
La loi du 11 octobre 2010, parfois appelée loi sur la burqa, interdit de « dissimuler son visage » dans l'espace public, notamment à l'aide d'un masque, d'une cagoule ou d'un voile islamiste intégral. Est concerné la burqa - qui cache entièrement le corps, y compris les yeux derrière un tissu à mailles - et le niqab - qui couvre le visage pour n'en montrer que les yeux. Ici, ce n'est pas le signe religieux qui est mis en cause par le législateur, mais bien la dissimulation du visage qui en découle. Le « hijab » (qui masque la chevelure mais laisse le visage dégagé) ne rentre donc pas dans le champ d'application de cette mesure. Cette loi a été validée en juin dernier par la Cour européenne des droits de l'homme qui a estimé dans un arrêt que « la préservation des conditions du «vivre ensemble» était un objectif légitime » des autorités françaises, qui disposent à cet égard d'une « ample marge d'appréciation ».

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