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La Maison vide : Une nouvelle d'Arthur Conan Doyle

Couverture du livre « La Maison vide : Une nouvelle d'Arthur Conan Doyle » de Arthur Conan Doyle aux éditions Culturea
  • Date de parution :
  • Editeur : Culturea
  • EAN : 9791041927913
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

La Maison vide (The Adventure of the Empty House en version originale), est l'une des cinquante-six nouvelles d'Arthur Conan Doyle mettant en scène le détective Sherlock Holmes. Elle est parue pour la première fois dans l'hebdomadaire américain Collier's Weekly le 26 septembre 1903, avant d'être... Voir plus

La Maison vide (The Adventure of the Empty House en version originale), est l'une des cinquante-six nouvelles d'Arthur Conan Doyle mettant en scène le détective Sherlock Holmes. Elle est parue pour la première fois dans l'hebdomadaire américain Collier's Weekly le 26 septembre 1903, avant d'être regroupée avec d'autres nouvelles dans le recueil Le Retour de Sherlock Holmes (The Return of Sherlock Holmes).

La nouvelle a la particularité de consacrer le retour de Holmes à Londres après son apparente mort dans Le Dernier problème, publié dix ans plus tôt. Cette « résurrection » du détective s'explique par la pression qui s'exerçait sur Arthur Conan Doyle pour que ce dernier écrive de nouvelles aventures du détective. Après avoir écrit Le Chien des Baskerville en 1901-1902, Conan Doyle donne dans La Maison vide l'explication détaillée de la survie de Holmes à son combat avec le professeur Moriarty.

Résumé Mystère initial Le 30 mars 1894 au soir1, un homme très respectable et sans histoires du nom de Ronald Adair est retrouvé mort à son domicile londonien du 427, Park Lane. L'impact d'une balle explosive de revolver à sa tête laisse entendre que l'homme a été assassiné. Toutefois cela semble impossible, personne n'étant visiblement entré dans la chambre par la porte qui était fermée de l'intérieur, et la fenêtre était inaccessible, car trop haute et éloignée d'une gouttière qui aurait permis d'escalader la façade. Bien que la fenêtre ait été ouverte par la domestique du gentleman avant sa mort, il semble improbable que le tueur ait pu abattre Ronald Adair depuis l'extérieur, car un tir au revolver de cette distance aurait été forcément trop imprécis et entendu par ses voisins. Le docteur Watson, qui voit Scotland Yard impuissant face à ce mystère, regrette l'époque où Sherlock Holmes aurait pu, grâce à sa science de la déduction, résoudre l'affaire en quelques jours.

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