Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
A la mort de son père, Sayaba reçoit pour tout héritage une clé et le plan indiquant une maison isolée. Elle n'a aucun souvenir de sa vie avant ses cinq ans. Elle souffre de cet état et espère trouver des réponses en se rendant dans ce lieu. Comme elle n'ose pas l'affronter seule, elle fait appel à son ex petit ami.
Ce roman considéré comme un polar est plutôt un quête de réponse dans une atmosphère particulière voire oppressante. Les deux protagonistes vont faire leur enquête en essayant dans un premier temps de découvrir des éléments et dans un second temps de les analyser et de comprendre comment ils s'imbriquent entre eux. C'est comme un puzzle macabre qu'ils tentent de reconstituer.
Cette atmosphère si particulière, au rythme plutôt lent, est "happante", en effet on ne peut lâcher ce livre qu'une fois la dernière page lue.
J'ai apprécié ce roman qui m'a fait découvrir un nouveau type de roman noir où tout relève de la psychologie et de la manière dont chacun des protagonistes va recevoir les informations et surtout de ce qu'il va en faire.
https://quandsylit.over-blog.com/2024/02/la-maison-ou-je-suis-mort-autrefois-keigo-highashino.html
Une jeune femme vient de trouver dans les affaires de son père décédé une clé et un plan pour accéder à une maison. Elle ne comprend pas et ne connaissait pas l'existence de cette maison. Elle demande à son ex-petit ami de l'accompagner dans ses recherches. Ils vont d'abord découvrir des choses étranges dans cette maison : les horloges sont toutes arrêtées à la même heure. Les objets semblent avoir été abandonnés et ses habitant ne sont pas revenus depuis longtemps. Ils découvrent ensuite le journal du petit garçon de la famille. Puis le temps du week-end, ils vont faire de nouvelles découvertes. Quant à la jeune femme, ses souvenirs resurgissent petit à petit. Quel suspense ! Quand on commence le livre, on ne le lâche plus...
Sayaka Kurahashi n’a aucun souvenir de sa petite enfance (du moins, avant l’âge de cinq ans …) À la mort de son père, elle reçoit une clé à tête de lion (accompagné d’un plan) envoyés sans explication dans une enveloppe anonyme. Sayaka va alors demander à son ex-petit ami (qu’elle n’a pas revu depuis leurs études) de bien vouloir l’accompagner dans cette maison inconnue, pour y découvrir (peut-être ?) les raisons de ce trou noir, qui lui a fait occulter ses premières années …
Mariée, son époux séjourne actuellement aux États-Unis pour des raisons professionnelles et elle a confié la garde de sa fille de cinq ans (qu’elle ne parvient pas à aimer …) afin de se rendre disponible. Sayaka Kurahashi et son ami (le narrateur de cette histoire, dont on ne connait pas le nom …) vont découvrir une étrange maison abandonnée (depuis vingt-trois ans apparemment) au bord d’une forêt. Une maison dont toutes les pendules sont arrêtées à onze heures dix …
Dans une chambre d’enfant, les deux jeunes gens vont également trouver le journal d’un petit garçon (Yusuke Mikuniya) : ce journal pourrait-il finalement être la clé de l’énigme qui permettrait à Sayaka de recouvrer la mémoire ?
Un très bon « polar » japonais (pas trop noir …) bien construit, à l’écriture fluide. Qui a réussi à retenir ma curiosité tout au long de l’intrigue et donné – de surcroit – une grande envie de poursuivre ma découverte de l’oeuvre de Keigo Higashino.
Une petite maison blanche, de style occidentale, perdue dans la montagne ; dont l’ambiance respire une horreur indicible et une sombre nostalgie. Sayaka Kurahashi, reçoit de son père une clé à tête de lion et un itinéraire. Marié avec un homme en perpétuel déplacement et mère d’une petite fille, Miharu, elle ne bénéficie pas de la garde de celle-ci ; en effet on la déclarée inapte à l’éduquer. Pour quelles raisons ? Elle reconnaît lui faire subir des maltraitances...
Elle culpabilise et cherche à comprendre d’où lui viennent ses pulsions tyranniques, elle pense qu’elle reproduit un schéma de son enfance ; cependant, elle n’a plus aucun souvenir de son enfance – ce qui depuis toujours l’a toujours perturbée. Serait-ce la raison de son agressivité ? Elle demande alors à un ami d’enfance de l’accompagner dans cette maison espérant, ainsi faire renaître la mémoire de cette période.
Dès le début, ils découvrent une bâtisse abandonnée, une entrée condamnée, puis des horloges qui sont toute arrêtées à la même heure, des nuages de poussières sur des meubles neufs, et trouvent au fur et à mesure des indices de la vie des occupants, dont un journal intime d’un petit garçon, Yusuke. Une découverte préoccupante, prémisse de découvertes d’événements tragiques.
« Keigo Higashino » livre son idée sur le passage de la mort et les destins croisés d’êtres humains, d’y déceler les sentiments tus, les non-dits et le besoin, pour garder un équilibre, d’en connaître le parcours de vie. Un sujet toujours d’actualité, car primordial sera, l’incidence des premières années qui façonneront plus tard, le caractère des hommes et des femmes dans leur métier de parents.
Un voyage éthéré dans les limbes de la pensée humaine, avec un regard sans atermoiement, un récit acéré dans une ambiance glacée, inverse avec des thèmes évoqués. De ce fait difficile de sentir impliqué dans des sentiments par trop intériorisés, sans doute, le style des écrivains japonais.
Halloween oblige, j'ai décidé de m'attaquer à un livre qui fait partie de ma PAL depuis...oulala je ne compte même plus! Premièrement, sa couverture flippante avec ces deux enfants figés et amorphes m'a semblé de bon goût pour cette semaine dédiée à la fête. Deuxièmement, le résumé énigmatique m'a convaincu d'entamer cette lecture prometteuse: une mystérieuse clef, une maison en forêt, aucun souvenir d'enfance...c'est ce à quoi va se confronter Sayaka dans cet étrange roman de Keigo Higashino. Vous voulez en savoir plus? C'est par ici...
Sayaka est une femme un peu paumée. Non seulement elle n'a aucun souvenir de son enfance, est mariée à un homme qui n'ai jamais là et à une fille qu'elle maltraite. Oui dit comme ça, ça paraît brutal. Consciente d'être une mauvaise mère, Sayaka impute en partie cette absence d'amour à son défaut de mémoire. Mais une clé à tête de lion léguée à la mort de son père sonne le début d'une quête pleine d'incertitude. En demandant de l'aide à son ex petit ami, elle ne s'imaginait pas trouver une vieille demeure lugubre au cœur d'une forêt où le temps semble s'être figé à onze heure dix. Au son d'une atmosphère sinistre, on pressent qu'un drame s'est joué ici, mais lequel? Au gré des indices, le journal d'un enfant devient le témoin d'un événement passé tragique. Que s'est-il passé? Pourquoi les horloges sont toutes arrêtées à la même heure? Pourquoi le père de Sayaka possédait-il cette clef? Autant de questions auxquelles les deux amis vont essayer de répondre. Mais les réponses ne sont pas-t-elles parfois plus violentes que les questions?
Voilà un roman bien étrange, qui m'a laissé peu de répit ces deux derniers jours! Pendue aux pages et aux mots, à ce huis clos glaçant, je me suis prêtée au jeu du détective remontant les indices du passé pour en révéler le présent. Car chaque chapitre est un indice supplémentaire au pressentiment de découvrir l'impensable. Mais pas si vite, Keigo Higoshimo est un malin, un sacré farceur puisqu'il joue avec le lecteur, se baladant de manière déconcertante avec nos nerfs et notre curiosité. Mais avant ça, avec un début un peu lent, un style plutôt minimaliste et froid, il était normal de se poser des questions sur le déroulé de cette lecture. Une intrigue qui tarde un peu à se mettre en place et des personnages peu attachants m'ont conduite à penser que ce roman allait être long...que nenni! Comme une partie de pêche, il remonte tout doucement l'hameçon auquel j'ai mordu pour ne plus me lâcher, distillant par ci par là les présages d'une découverte imminente.
Comme pour contrebalancer la distance qu'il impose au lecteur, le romancier crée une atmosphère de plus en plus pesante auquel le décor participe, avec une impression fantomatique hasardeuse laissant place à mon imagination fertile tout le loisir de se perdre.Il s'agit ici d'un roman sombre où l'angoisse monte crescendo, où les questions sont de plus en plus nombreuses et l'ambiance asphyxiante, porté par des personnages impassibles renforçant ainsi, un environnement glacial.
Riche de sujets intéressants comme l'identité mais aussi l'image de la mère en passant par les sentiments amoureux, l'auteur réussi à l'exprimer avec une certaine pudeur et distance. Le repli sur soi des protagonistes m'a d'ailleurs complètement dérouté, participant à une singulière impression. Aborder le sujet de la maltraitance du point de vue du parent contribue à ce malaise grandissant. Toutefois, je ne peux que souligner l'intelligence des liens fait entre maltraitance et quête d'identité comme une réponse aux actes et beaucoup aimé les questions qui tournent autour du sujet "qu'est-ce qu'une mère?".
Sous forme de puzzle de mémoire, cette recherche de soi permet de comprendre non seulement à Sayaka qui elle est aujourd'hui et également au narrateur, qui n'est autre que l'ex petit ami, de mettre une explication sur leur rupture. Une fin surprenante suite à quelques rebondissements, met en lumière l'exercice de Keigo Higashino de semer le lecteur, de se jouer de lui pour notre plus grand plaisir! Le thé noir d'Assam Kusmi Tea en fait un excellent compagnon de goût et de lecture avec un gâteau citrouille/amande.
http://bookncook.over-blog.com/
J’ai choisi de faire la chronique de ce livre parce que j’ai beaucoup aimé l’histoire et que le relire me tentait vraiment.
Le style de Keigo Higashino est assez spécial. Il crée vraiment une distance entre ses personnages et le lecteur. Au final on ressent peut-être encore plus le malaise qui habite les personnages. Je trouve que le style un peu froid et distant est bien choisi pour cette histoire.
Dans la première partie Keigo Higashino nous plonge doucement dans l’histoire, ça ne va pas trop vite et on apprend petit à petit à découvrir les personnages, la relation qui unit les deux personnages. On découvre aussi évidemment le sujet principal du livre. Une histoire qui pourrait paraître un peu banale mais qui au fur et à mesure de la lecture nous faire découvrir un environnement plus si banal que ça. On a envie d’en savoir plus à chaque page et de découvrir ce qui se cache derrière cette maison si particulière. Le fait que Keigo Higashino ait choisi un point de vue interne à l’un de ses personnages est intéressant. Par contre il arrive à créer une distance avec son lecteur. Il veut qu’on se sente mal à l’aise comme le sont les personnages face à leurs différentes découvertes. Plus on lit l’histoire plus on s’imagine une vie, un quotidien, une routine aux habitants de cette maison et je trouve ça bien que l’auteur ne nous dévoile pas tout et nous propose, à travers ses deux personnages principaux, plusieurs pistes.
Dans la deuxième partie, on en apprend plus sur un personnage bien précis. J’aime beaucoup l’idée de mettre des passages d’un journal intime. Ca nous permet de connaître un passé mais tout en le mêlant au présent, c’est assez original. Plus on avance dans l’histoire et plus on a envie d’en savoir plus. Il n’y a qu’un seul point de vue, ce qui fait que le lecteur apprend les choses en même temps que les personnages. Rien d’autre n’est dévoilé, c’est assez sympa ça nous permet d’être aussi perdu que les personnages, au niveau des révélations. Keigo Higashino aurait peut-être pu un peu plus approfondir les passages du journal intime mais ils restent tout de même assez réalistes, donc même si les passages sont courts ça n’enlève en rien au réalisme de l’histoire. Les lieux sont assez bien décrits on s’y croirait presque. Par contre les personnages manquent de descriptions c’est dommage… La fin de cette deuxième partie est pleine de rebondissements et on a envie d’en savoir plus.
Dans la troisième partie Keigo Higashino nous tient vraiment en haleine. Il dévoile petit à petit la vie de ses personnages et les mystères qui entourent cette famille. On découvre en même temps que les personnages les secrets que cachent la maison et ses anciens habitants. J’aime beaucoup le fait que l’auteur ne nous dévoile rien d’autre que ce que savent les personnages. Ainsi le mystère reste entier jusqu’à ce que les personnages le résolvent. Keigo Higashino continue de créer une distance entre le lecteur et ses personnages, c’est une façon d’écrire intéressante. Ce qui est bien aussi c’est que l’histoire en général ne va pas trop vite, finalement ça pourrait être quelque chose qui pourrait arriver à n’importe qui. Les personnages avancent pas à pas en "trébuchant" parfois sur certains détails. J’ai trouvé ça vraiment intéressant et très prenant !
Keigo Higashino nous dévoile tout dans la quatrième et dernière partie. Finalement on ne s’attendait pas vraiment à ce genre de révélations et on est surpris par ce que les personnages nous dévoilent. On est même aussi surpris qu’eux je pense. Keigo Higashino prend le temps de bien tout expliquer, c’est une bonne chose. Les noms sont en japonais mais l’auteur fait sans cesse des rappels ce qui fait que l’on ne peut pas se mélanger les pinceaux, c’est vraiment ça que j’ai apprécié ! Je pense qu’il faut peut-être un petit bagage de la culture japonaise pour comprendre certaines choses mais sinon on peut tout de même lire l’histoire sans problème. Il suffira juste au lecteur de chercher quelques mots de la culture japonaise mais ça ne freine pas la lecture. La fin est assez surprenante, je ne m’attendais pas à ce genre de fin mais elle est aussi très réaliste et c’est ce que j’aime dans les histoires, même si la plupart ne se finissent pas toujours de manière très réaliste.
L’histoire est tellement prenante que j’ai eu du mal à lâcher le livre, ce n’est que la fatigue qui m’a poussée à reprendre la lecture le lendemain.
http://fais-moi-peur.blogspot.fr/2014/12/affaire-n004-la-maison-ou-je-suis-mort.html
Ce Keigo Higashino est décidément un maître dans son domaine ! J'avais déjà été enchanté par la lecture du roman " Le dévouement du suspect X" ( une de mes premières chroniques, un peu courte mais sincère Lien direct ) mais celui-ci dépasse toutes mes attentes !
Bon développons un peu !
Sayaka, demande à son ex de lui rendre un petit service . L'accompagner dans une maison où allait son père. Celui-ci étant décédé, elle a un plan et une clé pour l'aider à découvrir où il se rendait et pourquoi ! Là est une de ses interrogations, mais ce n'est pas la seule ! Elle avoue au jeune homme qu'elle n'a aucuns souvenirs de sa petite enfance et elle espère en apprendre un peu plus sur son passé. Elle a donc de grands attentes de cette excursion.
Je me demandais ce que cela signifiait. Il était étrange que Sayaka n'ait pas le moindre souvenir de sa petite enfance, mais le fait que ses parents n'aient rien gardé de cette époque n'était pas moins mystérieux. n'importe qui gaspille de la pellicule au moins les trois premières années consécutives à la naissance de ses enfants. Il n'est pas rare que des parents achètent un appareil photo dans ce seul but. (...)
- Tu penses qu'il s'est passé quelque chose de particulier qui t'a fait perdre tes souvenirs d'enfance, c'est ça ? demandai-je pour essayer de mettre de l'ordre dans mes idées.
Elle acquiesça. J'enchaînai aussitôt en désignant le plan sur la table :
- Et tu as l'espoir de trouver là-bas une piste qui pourrait t'aider à les retrouver.
- En fait je me souviens.
- De quoi ?
- De cette clef, dit-elle en prenant la clef à tête de lion. Je l'ai déjà vue quelque part. Mais pas après le primaire. Avant. Si je découvre à quoi elle correspond, je suis sure que je me rappellerai.
Ensemble, ils vont découvrir une maison incroyable, où le temps c'est figé. Dans un climat sombre, lugubre et oppressant, ils vont de découverte en découverte. Ils remontent le temps. Déplace la poussière et mettent un peu de vie dans cet endroit qui n'en a plus depuis longtemps.
J'ai adoré cette lecture, on est pris dans cette histoire. Impossible de fermer ce bouquin sans savoir ce qu'il se passe... Chaque élément donné par l'auteur, nous tiens un peu plus !
Je ne peux que vous recommander de découvrir ce roman et surtout cet auteur de très grand talent !
http://lesciblesdunelectriceavisee.blogspot.com/2015/08/la-maison-ou-je-suis-mort-autrefois.html
Keigo Higashino est un auteur éminemment reconnu au Japon. "La maison où je suis mort autrefois" au titre bien étrange et attractif a reçu le Prix Polar international de Cognac en 2010. Autant le dire, je suis tombée sur le charme de cet écrivain singulier.
Il nous raconte ici une histoire cruelle et triste, un suspense psychologique avec comme point central une maison abandonnée où se déroule un huis clos entre deux personnages à l'enfance meurtrie (le narrateur et Sayaka).
Sous une apparente simplicité, l'énigme est en fait très complexe. L'écriture a la beauté et la sobriété japonaises, les dialogues pourraient sembler parfois presque puérils mais il ne faut pas oublier que les relations (hommes-femmes en particulier) sont très codifiées au pays du soleil levant.
De toutes façons, ce qui frappe, ce sont surtout les silences, de très beaux silences. Higashino est un magicien pour créer une atmosphère. Ici, elle est puissante, en clair-obscur, et très anxiogène alors que l'auteur ne tombe jamais dans le piège des effets spectaculaires pour instiller l'angoisse. C'est infiniment subtil, un jeu d'ombres et de lumières troublant. Higashino construit son intrigue lentement, plaçant ça et là des indices que le lecteur devra décoder pour placer ses pièces patiemment. Les rebondissements sont multiples mais tout est maîtrisé, jamais rien de superflu.
La maison joue bien sûr un rôle prépondérant, cadenassée, coupée du monde réel, égarée dans le temps, ténébreuse et inquiétante, mausolée du souvenir. On peut y voir une métaphore de l'inconscient puisque l'un des thèmes du roman est l'exploration de la mémoire et des mécanismes de défense qu'on peut mettre en place pour ne pas avoir à affronter des évènements trop douloureux.
Pour l'instant, peu de romans de Keigo Higashino ont été traduits en français. Je vous conseille la lecture de celui-ci et pourquoi ne pas poursuivre avec "Le dévouement du suspect X", "Un café maison". Je n'ai pas lu "La prophétie de l'abeille" et je ne pense pas que je le ferai, ce polar étant trop ancien avec des méthodes d'investigation policières un peu dépassées. Par contre, "L'équation de plein été" m'attend sur une table de chevet...
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